Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vie Locale - Page 277

  • UN CABINET PAS TRES CHRETIEN (SUITE) : Ô MON BATEAU !

    Le grand patron du cabinet « pas très chrétien » de gestion de biens et syndics de Vanves a pris ses précautions depuis qu’il a fait verbaliser un jeune homme qui avait garé sa voiture son bateau. D’autant plus qu’il s’est pris finalement une prune par la police municipale au début de la semaine pour s’être garé durablement sur son bateau. Depuis Mercredi, il a un panneau sur le volant de sa voiture toujours garé durablement sur son bateau avec cette explication qui vaudrait les colonnes du Canard (Enchainé) : « Afin de ne pas pénaliser l’entrée et la sortie de véhicules de notre bâtiment » - on se demande lesquels en dehors du sien ou de la camionnette des ouvriers – « je suis contraint de me garer sur notre bateau » - plutôt le sien !- « Merci de ne pas me verbaliser et de prendre contact avec l’accueil du cabinet Chrétien ». On croit rêver ! Mais c’est vrai. Si vous voyez sa voiture noire garée sur le bâteau, venez lire, c’est incroyable, du jamais vu. Mais plus c’est gros et plus cela passe…

    Au fait selon le code de la route, la réponse est claire comme de l'eau de roche : il est strictement interdit de stationner sur un bateau, même pour le propriétaire de l'entrée devant laquelle il se situe. L’article R417-10II-1° CDR stationnement gênant est généralement la référence sur les PV qui permet à l’agent de police de demander l’enlèvement, parce que le « bateau » n’appartient pas à son propriétaire. Il est un élément de la voie publique. Le bateau ne permet que d'entrer et sortir du garage dans de bonnes conditions. Il ne dispense pas de respecter les règles de stationnement en vigueur dans la rue...(stationnement payant ou zone bleue..). Mettre sa plaque devant sa porte ne change « légalement » rien à l'affaire. Tout au plus, une pervenche compatissante passera son chemin mais ce sera un « entorse » au règlement. Quant à Vanves, la police ne passe son chemin que lorsqu’il y a ce patron de « droit divin ». Pour les autres, tant pis « allez au diable » ! Vous savez, deux poids, deux mesures !  Selon que…Ô mon pauvre bateau !

  • LA TOUR DE VANVES SUR TOUTES LES SAISONS

    Carole Demerin expose ses photos sur la tour de Vanves au Centre administratif jusqu’au 19 Février. Un lieu bien choisi car c’est le seul endroit d’où l’on ne voit pas cette tour puisqu’elle est au desous. Cette vanvéenne a réalisé un travail photographique extraordinaire, un peu comme cette artiste vanvéenne (Corsi) qui avait peint le parc Frédéric Pic sur toutes ces coutures et durant les quatre saisons, mais sur cette tour dont elle nous conte :

     

    LA PETITE HISTOIRE

    - Le contact  :  « Août 2007. Nous emménageons dans ce nouvel appartement. Au travers de la fenêtre du salon, nous l’apercevons, là, planté droit devant nous tel le gardien de la ville. Je détourne presque malgré moi mon regard et déjà je sens qu’il se passe quelque chose. Une nouvelle vie commence, et ce centre administratif va en faire partie ! »

    - L’envie : « Ne pas s’arrêter à la première vision, à la première impression. Mes images ne relèvent pas de l’information, elles reflètent une vision au travers de ma sensibilité. Je recherche plus qu’une apparence fondamentale. Conjuguer mon attachement au thème du temps et mon obsession de découvrir autrement un sujet du quotidien ».

    - La réalisation : « Puisque notre rencontre s’était produite au travers de cette fenêtre, je décide alors de rester fidèle à ce lieu : la première photo sera donc prise de là ! Puis deux, puis trois… Très vite, cela devient un jeu : je jette un œil à chaque fois que je passe et quand je craque, hop une photo ! Il est toujours le même et pourtant tellement différent… »

    -  L’épilogue : « Deux années plus tard, force est de constater que les images se sont accumulées. Je les regarde, je les aime, elles font partie d’une période de ma vie. Je commence à les montrer et tout s’enchaîne. Je remercie vivement toutes les personnes qui m’ont aidée à vous les présenter aujourd’hui et j’espère que cette sélection vous fera vibrer autant que moi en les réalisant ».

     

    L’ARTISTE

    Comme tout artiste, Carole Demerin n’aime pas parler d’elle : « Disons que j'ai toujours baigné dans le milieu de la photo avec un père et un oncle photographes qui m'ont toujours encouragée à faire « autre chose ». Mais le propre d'une passion n'est-il pas de ne pas écouter la raison ? C'est donc naturellement que je suis devenue photographe. Je suis plutôt décrite dans le milieu professionnel comme une photographe de la matière et de la couleur, en fait je suis à la base une photographe de nature morte. J'aime détourner les objets, les sortir de leur contexte pour leur donner une autre dimension. ( On retrouve un peu ça aussi je pense dans mes photos du centre administratif) » explique t-elle en parlant de ses deux dernières expositions qui reflétaient son attirance pour le thème du temps et de la matière : « Le temps » en Mai 2005 et « la vie des pommes de terre » en décembre 2008 - Vous pouvez voir ces images sur son site : http://www.caroledemerin.com. « Je prépare actuellement ma prochaine exposition pour le printemps « kaléidoscope » sur le thème de l'eau : une recherche influencée encore une fois par le temps, la matière et la couleur ».

     

    VANVES UN VILLAGE

    « Je suis arrivée à Vanves en août 2007, un peu par hasard, suite aux aléas de la vie. J'avais toujours habité à Paris, et ce qui m'a tout de suite frappé dans cette ville, c'est qu'il s'en dégageait une âme de village. J'aime Vanves et ma première impression s'est confirmée au fil des jours, preuve en est notre rencontre. Alors oui, pourquoi ne pas photographier d'autres lieux, je vous promets d'y réfléchir... Quant à Monsieur Doisneau, grande question ! Bien des choses ont été écrites... Disons simplement qu'il incarne pour moi le bonheur des années 50 ».

     

     

    DANS LE CREUX DE L’OREILLE

     

    DISPARITION D’OLIVIER COUSSY

    Le quartier du lycée Michelet a perdu l’un des siens à l’âge de 56 ans auquel Le Laboratoire Central des Ponts et Chaussées installé Bd Lefebvre, tout prés,  a rendu hommage hier en milieu d’après midi après son inhumation au cimetière Montparnasse : ll s’agit d’Olivier Coussy, ingénieur civil des Ponts et Chaussées (promo 75), docteur es-sciences de l’université Pierre et Marie Curie ; directeur de recherche, enseignant et chercheur reconnu. Il s’était illustré par ses travaux en poro-mécanique, en thermodynamique des milieux poreux, en poro-plasticité, en propagation d’ondes ou en chimio-mécanique dans ces milieux qui ont été récompensés par de nombreux prix et médailles. Il a été l’auteur de plus de 70 publications dans des revues internationales et plusieurs ouvrages. Beaucoup de ceux qui l’avaient côtoyé dans son quartier ont été énormément touché par sa disparition si subite,  dont le marchand de journaux du Lycée qui connaissait bien la famille.

  • LE STADE DE VANVES RETROUVE SON GYMNASE DU PLATEAU

    FERMETURE DEFINITIVE A 18H SAMEDI

    DU CENTRE DE VACCINATION

     

     

    Demain, Samedi sera le dernier jour d’ouverture du centre de Vaccinations de Vanves qui avait été réquisitionné le 12 Novembre dernier en voyant ses horaires s’étendre de deux à trois après midi par semaine aux 7 jours de la semaine. Ce qui avait provoqué de nombreux problèmes pour les sections sportives du Stade Vanves, notamment le Hand où l’équipe première joue ses matchs de championnat

     

    « La baisse de la fréquentation des centres et le développement d’une offre de vaccination complémentaire  à travers la création de centres en milieu hospitalier, en milieu professionnel et l’ouverture au secteur de la médecine libérale autorisent à présent une adaptation du dispositif dans le cadre de la poursuite de la campagne de vaccination » explique la Préfecture dans un communiqué de presse.

     

    Il ne restera qu’un seul cetre de vaccinations pour tout le département, à Boulogne pour la semaine du 25 au 30 janvier, au  40-42, rue Denfert Rochereau

    Il faut savoir que depuis le début de la campagne de vaccination, près de 12 % de la population des Hauts-de-Seine a été vaccinée dans l’un des 23 centres du département, soit 160 278 personnes au total.