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  • VANVES, SON BUDGET ET SES PETITES HISTOIRES

    Le budget de Vanves se monte donc à 51,18 M€.

    Deux grands postes : 31, 24 M€ pour le fonctionnement soit – 4,82% par rapport à 2009. 19,94 M€ pour l’investissement.

     

    DANS LE DETAIL DE NOS DEPENSES

     

    Dans les dépenses de fonctionnement, les réductions les plus notables proviennent tout d’abord des charges à caractère générale (7,64 M€ soit – 6,68%) qui représente 24,47% de ses dépenses. Il n’empêche que des augmentations sont inscrites dans plusieurs domaines.  Notamment : Les bâtiments  (+3,262 M€) dont les fluides (+213 000 €), l’entretien et les réparations (+95 000 €) et le nettoyage (+1,829 M€) avec notamment la mise en place d’essuie-mains en remplacement des séches-mains électriques dans le cadre du dispositif de prévention de la grippe A H1N1. Les Sports (+236 000 €) avec une ré-évaluation des crédits consacrés à l’entretien des équipements et terrains (+15 000 €) et une augmentation du montant prévu pour les manifestations. L’enfance/éducation (+1, 616 M€) avec surtout les centres de vacances (+353 000 €), tous les séjours étant achetés à des prestataires. La mise en place des activités du pôle Inter-génération (+15 000 €). Le progression des frais d’actes et de contentieux en matière d’urbanisme (+149 000 €). Les réductions ont concernés les coûts liés aux structures provisoires installés sur le site du parking 11 rue Jullien, aux charges de restauration (- 50 000 €), aux animations et frais protocolaires (- 60 500 €) par la réduction de leur nombre et de leurs participants, aux frais d’affranchissements (-10 000 €)

    Ensuite des charges de personnel (19,2 M€, soit – 4%) qui représentent 62,84% des dépenses fonctionnement. La réduction de – 3,34% s’explique par les transferts de compétences, Espaces verts et Stationnement à la Communauté d’Agglomération (CA). Enfin des charges de gestion courante qui représentent 9,16% et se composent des subventions aux associations (950 000 €), au CCAS (785 000 €), des contingents (652 000 €), des indemnités, cotisations retraites (276 000 €), des indemnités de logements aux instituteurs (7000 €).

     

    Les dépenses réelles d’investissement se montent à 19,94 M€ dont 3,943 M€ de dépenses reportées.

    Le montant des travaux est de 11,9 M€ qui se répartissent ainsi : 8,4 M€ pour le programme Cabourg, 45 000 € pour l’étanchéité de l’école élementaire Larmeroux, 196 000 € pour les écoles, 386 000 € pour la réfection de la créche Boule de Gomme, 30 000 € pour installer des pare-soleil aux créches Caramel et Nougatine, 77 000 € pour le secteur Petite Enfance (dépenses diverses), 36 000 € pour le plancher de danse du théâtre Le Vanves, 25 000 € pour l’orgue de l’église Saint Remy, 21 000 € pour le secteur Culture (Dépenses diverses), 10 000 € pour des travaux au chalet de la Féclaz, 21 000 pour les Accueils Loisirs, 50 000 € pour des travaux de toîtures et de désenfumage au garage municipal, 18 000 € pour des travaux au 1er étage et de cloison au club Murillo, 65 000 € pour des travaux de ravalements et de réfections diverses dans les logements communaux, 259 000 € pour ds travaux de sécurité dans les bâtiments communaux, de gros entretien et de mise aux normes, 33 000 € de travaux dans le pavillon du parc F.Picv, 265 000 € pour la réfection du parquet et des tribunes dans le gymnase André Roche, 140 000 € pour la piste d’athlétisme, 75 000 € pour la transformation en gazon, synthétique avec récupération des eaux de pluie du terrain de football annexe, 25 000 € pour l’éclairage des courts de tennis, 87 000 € pour des travaux concernant les installations sportives dont 20 000 € pour l’entretien des installations thermiques.

    A côté de ces travaux, il est prévu 737 000 € pour l’acquisition de matériel, mobilier équipement dont 360 000 € de matériels informatiques et logiciels ; 345 000 € pour des acquisitions foncières dont 195 000 € pour ses acquisitions même, 65 000 € pour frais d’études (POS), 40 000 € pour l’OPAH ; 586 000 € pour ds travaux sur le domaine public dont 352 000 € pour le futur mail Sadi Carnot (1ére tranche) et 234 000 € pour l’enfouissement des réseaux.

     

     

    VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

     

    ABSENCES :

    Bernard Gauducheau n’aime pas du tout qu’on lui rappelle ses absences. Celle du Conseil Régional lors de la séance d’installation s’explique tout simplement : Son secrétariat avait pris quelques rendez-vous importants pour l’après midi, et personne au secrétariat du groupe NC à la Région ne lui avait dit que cette séance pourrait se prolonger l’après-midi, parce que pour les habitués c’est évident. Il n’est pas d’ailleurs au bout de ses surprises, car dans une telle assemblée, les élus savent lorsqu’ils commencent, mais jamais quand ils finissent, surtout lors de la session budgétaire avec ses longues séances de nuit, ou lors des commissions permanentes qui se terminent souvent en fin d’après-midi. Enfin, même si l’extrême droite a disparue, la diversité des courants au PS et des partis constituant la majorité à gauche risquent bien de rallonger les débats plutôt que de les simplifier.

     

    TOURISTA

    Dans le groupe des élus municipaux et du petit monde qui gravite autour, tous ont été au courant durant toute cette campagne des régionales, des mésaventures arrivées à l’un d’entre eux qui a été victime, malheureusement,  d’une tourista effroyable pendant ses vacances au Maroc. Ce qui l’a d’ailleurs empêché de participer à une partie de la campagne pour les régionales.

     

    CIMETIERE

    Jacques Landois, maire adjoint, chargé notamment du cimetière, a fort affaire avec l’un de ses visiteuses régulières. Celle-ci a la malheureuse manie de piquer fleurs, plantes, couronnes posées sur les tombes et de les changer de placer notamment pour aller fleurir celles qui ne le sont plus. Ce qui a le don d’énerver le personnel du cimetière auquel viennent se plaindre ceux qui viennent se recueillir sur les tombes de leurs proches. Notre élu a sa petite idée, car cette personne a été repérée. Mais voilà, à chaque fois, qu’il la voit, elle lève les mains l’air de dire « je ne touche à rien ! »

  • VANVES ET LE GRAND PARIS : LE PROJET DEVANT LE SENAT

    Le projet du Grand Paris, examiné en urgence (une lecture dans chaque assemblée) qui  déjà été adopté par l'Assemblée nationale le 1er décembre dernier  devrait être débattu par le Sénat en séance publique à partir du 6 avril prochain. Ainsi, après avoir été absent du débat politique lors des Régionales, ce dossier revient sur le devant de la scéne depuis quelques jours. Tout d’abord, parce que la gauche demande son abandon après les résultats des 14 et 21 Mars 2010. Ensuite, parce que le texte revu et corrigé par les sénateurs revient en arrière sur les avancées obtenues  par les députés.

    C’est un dossier qui devrait intéresser les vanvéens qui sont concernés parce que leur commune est dans le Grand Paris, que ses élus dont le Maire, ont contribué au débat depuis le début, même s’il a pris quelques reculs par raport à Paris Métropole. Enfin, parce que le Grand Huit, projet de métro automatique autour de Paris devrait passer dans le secteur du Clos Montholon commun à Vanves/Issy/Clamart.  

     

    Les nouvelles dispositions arrêtées par les Sénateurs  

     

    La version du projet de loi du Grand Paris adoptée jeudi dernier par la commission spéciale  du Sénat dont le rapporteur est Jean Pierre Fourcade prévoit la suppression du projet de rocade ferroviaire autour de Paris Arc Express défendu par le président du conseil régional.  Il stipule en effet qu'il sera mis fin à la procédure de débat public engagée pour « un projet de rocade par métro automatique en Ile de France » dès le lendemain de la publication de la loi sur le Grand Paris (Article 2 Alinéa X). Il faut rappeler que le STIF a lancé en juillet le projet Arc Express en saisissant la commission nationale du débat public (CNDP). Le débat public pour ce projet « emblématique » porté Jean-Paul Huchon, permettant des liaisons banlieue-banlieue, devait débuter cette année. Si le texte de la commission devait être adopté définitivement tel quel, le projet d'Arc Express ne verrait pas ainsi le jour, faute de débat public qui est un préalable à la mise en oeuvre d'un tel projet. Il est le projet-phare du plan de mobilisation de 19 milliards d'euros pour les transports présenté en 2008. Son coût est évalué à 6 milliards d'euros. Le projet de double boucle de métro automatique autour de Paris du secrétaire d'Etat Christian Blanc reprend en partie le tracé prévu pour Arc Express.

    Mais ce n’est pas tout, car la  commission spéciale a adopté une nouvelle taxe dont le produit serait affecté à la future Société du Grand Paris chargée notamment de réaliser le Grand Huit (Article 9 bis).  Il s'agit « d'une taxe forfaitaire sur le produit de la valorisation des terrains nus et des immeubles résultant, sur le territoire de la région Ile de France, des nouvelles infrastructures de transport public du Grand Paris ». Elle serait perçue dans un périmètre « ne pouvant s'éloigner de plus de 1.500 mètres d'une entrée de gare ». Selon les spécialistes,  son produit serait faible (de l'ordre de 700 ME sur 20 ans) et sans aucune mesure avec le coût de la double boucle (21 milliards d'euros selon M. Blanc, 22 à 25 selon la RATP).

     

    Cette commission spéciale du Sénat a instauré plusieurs nouvelles dispositions : « Dans le respect des compétences reconnues au STIF, l’établissement Public Société du Grand Paris veillerait au maillage cohérent du territoire au travers d'une offre de transport de surface permettant la desserte des gares du réseau de transport public du Grand Paris » (Article 7 alinéa II bis).  Il « peut conduire des opérations d’aménagements  ou de constructions après avis des communes et EPIC compétents concernés autour des gares ou dans les périmètres délimités dans les contrats de développement local » (Article 7 Alinéa IV).

    « Un décret du Premier ministre nomme un préfigurateur » de la Société du Grand Paris qui pourrait « conclure des contrats ou des marchés » jusqu'à la nomination du futur président du directoire (Article 8 alinéa VIII). Parmi les noms qui circulent pour cette présidence figure celui d'André Santini (NC) 69 ans, député-maire d'Issy-les-Moulineaux. Enfin, en matière de logement, le préfet de région fixerait pour une période de trois ans les objectifs annuels de production de nouveaux logements dans des périmètres soumis à l'obligation de réaliser un programme local de l'habitat (Article 19 bis). A Saclay, où M. Blanc veut créer un pôle scientifique et technologique, « une zone de protection naturelle et agricole serait créée d'au moins 2.300 hectares de terres et consacrées à l'activité agricole »(Article 28) situées sur le territoire de 15 communes de l'Essonne et des Yvelines.

     

    Les sénateurs socialistes ont demandé vendredi dans un communiqué son «  report » en le qualifiant de « bulle hors sol et hors démocratie » qui ne permet pas de « résorber les déséquilibres sociaux et territoriaux » en IDF. Ils souhaitent que « soit respecté le vote émis dimanche par les Franciliens, que l'Etat transmette enfin le SDRIF au Conseil d'Etat et reporte le texte Grand Paris ». Il intervient « dans un contexte de défiance, voire d'hostilité de l'Etat à l'égard des collectivités et surtout de la région Ile de France, et ce, alors que l'équipe du conseil régional a été puissamment légitimée dans les urnes dimanche ». Ils estiment en outre qu'il « ne propose aucune solution de financement crédible, ce qui laisse craindre qu'in fine, la charge de ce projet pèse sur les ménages ». Ils souhaitent une « articulation du réseau Grand Paris avec les infrastructures existantes et les projets d'ores et déjà votés par les collectivités, l'équilibre en matière de financement et de gouvernance » et que soient posés les « enjeux du logement ».

    Jean Paul Huchon dans son discours d’investiture, vendredi dernier, a de nouveau demandé l’abandon immédiat du projet de Grand Paris « rejeté par les franciliens. Si l’Etat décide de passer en force, les collectivités territoriales – région, départements, communes – n’auront pas d’autres choix que de réviser leur partenariat avec lui ».

  • LA SEMAINE SAINTE A VANVES

    Après la messe des Rameaux Dimanche qui a attiré de très nombreux vanvéens aux messes de St François, de St Remy et du Prieuré Sainte Bathilde, cette semaine sera marquée par de nombreux offices. Ils mettront en parenthèse la vie politique marquée par les Régionales jusqu’à la fin de la semaine dernière avec l’élection du président et de l’exécutif régional en Ile de France, les répercussions des  résultats etc…

     

    1er Avril – Célébration de la Céne

    A 19H30 à Saint François, à 20H30 à Saint Remy

    2 Avril – Vendredi Saint

    Chemin de croix à Saint François à 12H15, à Saint Remy à 15H30

    Célébration de la Passion à 20H30 à Saint françois

    3 Avril – Samedi Saint

    Vigile Pascale à 21H à Saint Remy avec le baptême de Mélody et Elyne

    4 Avril – Dimanche de Pâques

    Messe de la Résurrection à Saint François à 10H et à 11H30, à Saint Remy à 11H15

    Auparavant, certains catholiques de Vanves participeront au rassemblement des chrétiens (catholiques, orthodoxes, protestants) à la Défence à 7H30 comme en 2007, en présence du cardinal André Vingt Trois, de Mgr Gérard Daucourt, de Mgr Emmanuel, des pasteurs Marie-France Robert, Jean-Charles Tenreiro, Stuart Ludbrook.