Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 6

  • ...ET QUELQUES FAUSSES NOTES

    AIGRES DOUX

    La Pétanque inaugurait hier soir  l’abri de jardin édifié par la Mairie, et du barbeccue offert par Isabelle Debré et Maxime Gagliardi en présence de ce dernier et du maire, Bernard Gauducheau. Jacques Toine, son président avait même prévu le ruban tricolore. La soirée fut amicale avec quelques parties de pétanque… sauf que le maire a eu un échange vif avec le président du Stade François Praud qui était présent. Il lui a reproché d’être passé par le Conseiller Général et la conseillére régionale au lieu de s’adresser à lui  pour régler deux problémes qui concerne quand même sa commune : La demande de la section Tennis de table de bénéficier de quelques heures (hors-scolaire) du gymnase du collége St Ex qui dispose de l’équipement nécessaire mais qui bute contre le refus du Conseil Général d’ouvrir les locaux (sportifs) de ces colléges aux associations. Et l’état des équipements sportifs du lycée Michelet dont certaines sections se sont plaintes et qui les aménént à refuser d’y retourner la saison prochaine. « Sans moi, tu n’arriveras à rien » l’a-t-il prévenu, « mais tu fais ce que tu veux ! »

     

    ECHANGES VIFS

    Guy Janvier a été à l’origine hier au Conseil Général des Hauts de Seine qui siégeait d’un incident de séance à propos du logement. Il s’est indigné de la situation alarmante du logement dans les Hauts de Seine avec 58000 dossiers en attente et seulement 52 familles relogées grâce à la loi Dallo. « Certaines municipalités sont hors la loi en étant du sueil imposé par la loi SRU (20% de logements sociaux). Il faut le souligner. Le décalage entre les besoins et l’offre est beaucoup trop importante » a-t-il déclaré en s’en prenant à l’office départemental d’HLM qui fait beaucoup de réhabilitations extérieures mais pas intérieures notamment pour insonoriser ces logements en évoquant son action pour sauver de l’expulsion une famille dont les voisins se plaignaient du bruit qu’elle générait dans l’immeuble. « On tombe vraiment dans l’infiniment petit » a rétorqué Isabelle Balkany (UMP). « J’attends que les services de l’Etat ou du département viennent nous direque nos réhabilitations lourdfes ne respectent pas la sécurité en matière de lutte contre le bruit » a répondu Jean Paul Dova (UMP), président de l’Office, en ajoutant le département est l’un des rares en France à consacrer autant de crédits pour cela, relayé par le ministre président du conseil général Patrick Devedjian : « Aucun département ne fait autant d’effort que nous : 24€ par habitant dans les Hauts de seine, 10 € dans le 9.3, 19 € dans le Val de Marne, 3 € dans la Seine et Marne… ». Il a même indiqué que le taux de logement social est de 15,7% à Paris « alors que l’on est à 27% dans les Hauts de Seine » face au président du groupe PS, Pascal Buchet lui demandait de fixer un objectif ambitieux à 40% pour pouvoir aider les jeunes à se loger dans le département.

  • UN CERTAIN 18 JUIN A VANVES

    CEREMONIE DU CŒUR A VANVES

     

    C’est ainsi que dénomme Isabelle Debré ce rendez-vous annuel devant la stéle du Général de Gaulle dans le square qui porte son nom mais que tout le monde appelle Marceau. Ils étaient tous là, à 19H, hier soir, les vrais gaullistes, accompagnés, c’est vrai, des autres, les ex(gaullistes), les centristes de NC dans un élan très consensuel, les représentants officiels de la ville, maire et adjoints… Mais ce n’était pas toujours le cas, à chaque 18 Juin…pour cette cérémonie très simple qui étonne toujours tous ceux qui viennent profiter de ce lieu lors de ces beaux jours de l’année. Une sono avait été installée : « Il y avait 69 ans, une voix s’élevait sur les ondes de la BBC. Le Général de Gaulle appelait la France à dire non…cette voie forte, presque inconnue à l’époque, résonne encore, non seulement dans le cœur de tous les français, mais aussi dans celui de tous ceux qui, dans le monde, disent non à ce qui leur paraît inacceptable, quelles que soient les difficultés à venir. L’histoire de notre peuple est ainsi marquée par des événements qui symbolisent aux yeux de tous, la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ainsi au-delà des querelles partisanes, les français se retrouvent ils souvent réunis autour de symboles puissants, qui portent loin la voix de notre vieux pays » a déclaré Isabelle Debré en rappelant les interventions du Président de la République sur la scéne internationale : « C’est parce qu’il s’exprimait, porteur de ces valeurs propres à notre peuple, refus de se soumettre, courage devant l’adversité, qu’il a été entendu et respecté ».

    Et de conclure : « Il est donc important que nous nous retrouvions ensemble, avec simplicité et sincérité pour commémorer cet événement. Il est de notre devoir de transmettre à nos enfants, et aux enfants de nos enfants, les valeurs auxquelles nous devons d’être ici librement, au sein d’une démocratie vivante et généreuse. A nous de leur apprendre qu’on peut toujours refuser l’inacceptable, affronter les difficultés, sacrfier son confort et sa tranquillité quand il s’agit de l’essentiel ».  Et ce sont les deux enfants de Charles Kaazan qui ont déposés la gerbe devant la plaque, sous les yeux d’Isabelle Debré, Sénateur, Frédéric Lefebvre, Député, Bernard Gauducheau, Maire, avant que tout le monde respecte une minute de silence.

  • LA SENATEUR DE VANVES EN APESANTEUR

    ISABELLE DEBRE :

    « UN SOUVENIR INOUBLIABLE ! »

    Après avoir passé une semaine dans un sous marin (SNLE) de la Marine Nationale voilà prés d’un an, Isabelle Debré, Sénateur des Hauts de Seine, 1ére maire adjointe de Vanves a vécu  mardi  martin, une expérience rarissisme  en compagnie de 3 spationautes, Claudie Haigneré  qui a été ministre Jean François Clervoy et Léopold Eyharts et 3 députés : Se retrouver en apesanteur  grâce à un vol parabolique. Le CNES avait invité ses 3 parlementaires à vivre cette expérience dans le cadre du salon aéronautique du Bourget, et ils ont rejoint « Zero gravitation » qui est un airbus aménagé spécialement par le CNES pour faire des vols paraboliques. Pendant 25 secondes l'avion qui monte trés haut se met en chute libre, et compense avec ses moteurs la résistance de l'air. La vitesse horizontale est alors rigoureusement constante et la vitesse de chute est celle d'une chute non freinée sous l'effet de la gravitation. Alors les passagers de l'avion se retrouvent momentanément en état d'appesanteur. Puis vient le redressement de l'avion et la remise des gaz. L'avion n'a pas besoin de plus de 3 minutes pour remonter là d'où il est tombé et il recommence plusieurs fois.  Ceux qui ont eu l'occasion de vivre ces vint cinq secondes d'appesanteur en gardent un souvenir inoubliable. Ce qui a été son cas : « expérience extraordinaire ! », « Moment inoubliabler » étaient ses mots à la sortie de l’Airbus A300 0 – G. Généralement pendant ces périodes de pesanteur réduite, des chercheurs, des lycéens ou étudiants dans le cadre de l'activité  « Parabole » proposée par le CNES, effectuent des expériences et obtiennent des données dans des conditions impossibles à reproduire sur Terre. « C’est ce qu’a voulu montrer le CNES à des parlementaires qui votent le budget recherche » ajoute t-elle.