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  • LA DERNIERE MERCIERE DE VANVES EST DECEDEE

    Cinq ans après ouvert sa mercerie « Loisirs créatif », créé voilà vingt ans, Françoise Buire ( à droite sur la photo) a tirée sa révérence ses derniers jours. C’était l’épouse du marchand de journaux et librairie installé juste à côté. Elle avait réussie à faire de la dernière mercerie de Vanves, un endroit convivial, comme son époux avec sa librairie. «J’ai ouvert cette mercerie pour payer ma retraite à 45 ans. Je n’étais plus en âge de trouver un emploi facilement et d’être employé. Au début, je voulais ouvrir un club de points comptés ou de croix. Mais de fil en aiguille, c’est le cas de le dire, les gens m’ont parlé de mercerie. Comme j’aimais la couture, j’ai sauté le pas. Et cela dure depuis 2001» confiait elle à l’auteur de ce blog, quelques jours avant sa fermeture en Décembre 2015.Combien de passionnés de couture, de tricotage,  de canevas, de point compté, de point de croix mais aussi tous ces créatifs,  pouvaient trouver de quoi assouvir leur passion pour créer des objets de toute sorte, d’où ce nom de « loisir créatif ». Elle avait suivi toutes les modes du scrapbooking, des bracelets paracordes après le décopatch, les perles swarovski, la pâte Fimo pour faire des bracelets et des bijoux apparus au fil du temps… Enfin, beaucoup de vanvéens avaient découvert cette mercerie car elle a été dépôt de la Redoute,  bien avant cette mode des commandes par  Internet que l’on vient maintenant chercher dans certains boutiques Après »Chez Fauvette » dans le centre ancien voilà longtemps, Vanves a non seulement vu disparaître sa dernière mercerie voilà cinq ans, et maintenant cette qui l’a tenu pendant quinze ans.. 

  • LA MERE PRIEURE DES BENEDICTINES DE VANVES OFFRE UN CHEMIN SPIRITUEL HEUREUX VERS LE PERE

    «Entre les Mains du Père, la progression de l’Homme selon saint Irénée » (Edt Saint Léger) offre à son lecteur un chemin spirituel heureux vers le Père. Soeur Marie-Madeleine Caseau, prieure des bénédictines de Vanves entraîne ses lecteurs dans « la progression de l'homme vers l'Incréé », sur les pas d'Irénée de Lyon, avec finesse et sûreté.  Elle étudie la « progression » selon trois aspects : «économique », anthropologique, et eschatologique. «La progression de l'homme vers l'Incréé suppose le temps, le temps de l'histoire ou de l'« économie » du salut, le temps de la croissance de l'homme, de l'enfance à l'âge adulte, et encore le temps préparatoire à la vision de Dieu, qui est le règne des justes sur terre pendant mille ans, le millénium» expliquait-elle lors d’une présentation de son livre au Prieuré Saint Bathlide, la semaine deniére . «Il n'y a qu'un seul salut et qu'un seul Dieu, mais pour conduire l'homme à son achèvement, il y a des préceptes multiples et nombreux sont les degrés» (A.H. IV,9,3). 
    On peut constater l'intérêt d'une telle étude qui nous fait entrer dans la pensée d'Irénée, premier grand théologien de l'Église. Né vers 135, en Asie Mineure, la Turquie actuelle, il arrive en Gaule, en passant par Rome. À Lyon, où il est prêtre, il succède comme évêque à Pothin, mort en prison pendant la persécution de 177. Dans cette année qui lui est consacrée par le diocèse de Lyon, et, par lui, nous fait découvrir la manière par laquelle Dieu vient vers l'homme et l'homme va vers Dieu.     Sœur Marie-Madeleine Caseau, aujourd'hui Présidente de la Congrégation des Bénédictines de sainte Bathilde et prieure de Vanves, a été, pendant plusieurs années, responsable des Oblats et hôtelière au Prieuré de Saint-Thierry (Reims). Elle a ainsi accompagné de nombreux laïcs dans leur quête de Dieu et a pu réaliser la nécessité de donner à chacun des outils pour qu'il trouve son chemin de vie et de bonheur et y persévère. Elle a signé de nombreux livres notamment « Qui que tu sois » (Edt Saint Léger qui permet, mais aussi explique, de vivre au fil des jours avec Saint Benoit