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  • MARCHE MUNICIPAL DE VANVES : L’AMBIANCE N’EST PAS A LA CONCERTATION MAIS A LA CONTESTATION

    Les rapports d’activités sont toujours intéressant à lire car ils sont une source de renseignements. En particulier celui du marché, géré par la société EGS  qui fait état de questions redondantes.

    Par exemple, le manque de volants. Il parait que les travaux du couloir de bus ont fait perdre environ 20% des volants, car les travaux sur l’avenue Antoine Fratacci avec le rétrécissement des trottoirs, ont fait reculer et réduire le nombre de commerçants. Le concessionnaire en comptait une vingtaine le samedi. Il en est de même de la présence des commerçants les autres jours que le samedi, c’est-à-dire le mardi, un désastre, et le jeudi. Occasion de constater que le marché est sombre quand les commerçants sont absents. Pourtant les idées ne manquent pas (sans suite) pour redynamiser le marché : remise en peinture, développer la convivialité avec une place inauguré au printemps 2017 composé de jardinières, des tables rondes avec chaises aux couleurs vives, attirer une clientèle de bureau pour y déjeuner à midi ( ?) ce qui amené à enrichir l’offre traiteur.

    En matière de sécurité, manifestement, les autorités de la ville donneraient l’impression de faire une fixation depuis 2016  sur la buvette demandant à son tenancier, mais sans lui avoir avoir donné le feu vert (ou en tardant) pour les travaux - comme il l’a expliqué au maire lors d’un récent contact - alors qu’il avait proposé lors de son installation de faire les parois en PVC, ce qui lui avait été refusé à l’époque, et maintenant autorisé. Ce qui n’empêche pas de poser la question des bâches de tous les stands du marché qui ne seraient pas aux normes ( ?), certaines n’ayant pas été remplacé depuis longtemps.

    A croire que l’on s’occuperait, en haut lieu municipal, beaucoup de sécurité pour les uns, mais pas pour les autres, en fonction des préférences amicales. En tous les cas c’est l’impression donnée vu de l’extérieur, selon nos informations. D’autant plus que le concessionnaire n’hésiterait pas à porter plainte contre des commerçants qui ose élever la voix, ou distribuer des rappels à l’ordre lorsqu’ils ne sont pas d’accord avec certains décisions qui reléveraient plutôt du fait du prince que de la concertation