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RESIDENCE DES HAUTS DU PARC : UNE PREMIERE REALISATION A VANVES POUR EFITEC PROMOTION

Une très petite résidence de 10 logements a été inaugurée après un très long processus contentieux,  administratif, commercial et de construction. Une belle entrée en la matière pour la jeune équipe d’EFITEC Promotion pour qui s’était le premier chantier. Ils n’ont pas démérité

 

Cette résidence « Les Hauts du Parc »  au 11 rue Larmeroux est la plus petite de cette route départementale coincée entre les ateliers techniques de la ville et un immeuble construit par Bouygues,  avec sa petite façade de 10 m haute de 4/5 étages. Elle était inauguré Mercredi soir par Bernard Gauducheau, maire et Isabelle Debré, Sénateur 1ére adjointe,  qui ont été accueilli par MM Begue, Le Bouc et Souchal,  les trois associés d’EFITEC Promotion qui ont réalisé non sans mal ce chantier. Ils ont bien, sûr visité les logements, du studio au 5 piéces dupleix au dernier étage et une maison de ville derrière séparée du bâtiment par des jardins privatifs « Il fallait être audacieux pour venir dans ce quartier excentré.  Et surtout construire sur ce terrain où certains ont abandonnés leur projet (et non des moindres comme Bouygues) face à un propriétaire qui ne voulait pas se séparrer de son bar et de son hôtel » a reconnu le maire en ne cachant pas que la municipalité vivait dans l’angoisse d’un incendie dans cet immeuble vétuste. Surtout après ceux d’hotels semblables à Paris.

 

D’autant plus que cette opération a démarrée en 2006 et que rien n’a été épargné à ces jeunes premiers dans la promotion immobiliére : Il a fallu retrouver les 2 propriétaires du terrain qui ne s’entendaient pas et dont l’un  vivait en Algérie, arriver à fermer le café « l’Etoile de Vanves » avec ses oliviers qui plaisaient tant à ses habitués, et surtout ses occupants sans droit, ni titre dans l’hôtel. « Nous avons dû faire appel à la commune, à la police pour les expulser » racontait l’un des trois, M.Begue, Mercredi soir. Mais ce n’était pas fini, car lorsqu’ils ont commencé à commercialiser, c’était au plus mauvais moment, avec la crise de 2008… toujours en gardant dans l’esprit de mener à bien et jusqu’au bout cette opération.

Les travaux ont pu démarrer  sur un terrain étroit, à cheval sur 2 zones de constructibilité différente (dans l’ancien POS), avec une surprise de taille : le mur du bâtiment des ateliers municipaux n’était pas droit. Mais l’entreprise générale Coredif a dû faire avec pour construire cet immeuble dont la façade est fragmentée par des balcons et des terrases. « Promoteur est un métier complexe avec beaucoup de contraintes » reconnaissait M.Begue qui était très ému pour cette première réalisation où il a bénéficié, malgré tout,  de soutiens de poids face à cette adversité. « Ce fut une épopée où nous avons beaucoup appris » reconnaissait il - « Vous êtes armé pour vous aventurer sur d’autres terrains » a répondu le maire. Les occupants commencent à arriver : 7 sur 10 acquéreurs,  auprés de l’agence Gilles Parent qui commercialisait ses appartements,  sont des vanvéens.    

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