HOMMAGE AUX COMBATTANTS D’AFRIQUE DU NORD
Voilà, vingt ans que chaque 5 Décembre de l’année, est célébrée une Journée Nationale d’Hommage aux « Morts pour la France » pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie, grâce au président de la République Jacques Chirac, et au square des combattants d’Afrique du nord et des Territoires d’Outre-Mer, avenue de Verdun, depuis le 5 Décembre 2006, qui avait été inauguré au printemps de cette année avec la stèle du sculpteur Adam Farkas. Une stèle tout à fait expressive avec cette colonne calcaire qui fait penser à la Casbah et ce bronze torsadé aux torsions intérieures devant laquelle se sont inclinés, mardi dernier le maire Bernard Gauducheau, avec le sous-préfet de Boulogne-Antony, Benoit Trevisani, la député Claire Guichard avec la conseillère municipale Séverine Edou, le président de l’UNC Paul Guillaud... «Une fois encore, cet hommage, que nous rendons aux héros morts pour la France, se veut regarder la vérité en face et c’est une condition indispensable pour léguer à nos enfants une mémoire qui ne soit pas la réplique des souffrances d’hier et d’aujourd’hui » a déclaré le maire de Vanves à cette occasion
ATTAL MAITRE DE LA COM
Gabriel Attal a encore fait le buz cette semaine en présentant le jour de la publication du classement du Pisa, programme international pour le suivi des éléves de 15 ans ses mesures de ce qu’il appelle le « choc des savoirs » dont il parle depuis la Rentrée. Comme le remarquaient les journalistes, le timing était parfait en matière de communication, car "la date ne devait rien au hasard" Et il marque encore un point, faisant de lui le chouchou des sondages, puisqu’il est classé deuxième personnalité politique suscitant le plus d’adhésion derrière Edouard Philippe (44 % contre 38 %), avec une progression de 17 points depuis juin. Il ferait même un meilleur Premier ministre que Gérald Darmanin et Bruno Le Maire, puisqu’il est le plus cité pour occuper ce poste selon Odoxa. Même Olivier Giesbert, dans un éditorial du Point expliquait l’incroyable de popularité du ministre de l’éducation nationale « quand il a interdit, à la Rentrée, le port de l’Abaya à l’école, après de piteuses tergiversations" alors qu'on demandait « Au Président et au gouvernement de donner des preuves de laïcité au lieu de se tortiller comme des lombries »