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  • INAUGURATION DE L'AVENUE JACQUES JEZEQUEL A VANVES : UN DEVOIR DE MEMOIRE RESPECTE

    L’inauguration de l'avenue Jacques Jézequel donne l’occasion de rappeler quelques souvenirs et événements qui ont touché cette voie qui mène à la gare et son quartier

    Commençons tout d’abord par les noms que portent cette rue et de cette place et rappellent le souvenir de jeunes vanvéens morts pour la France au moment de la libération de Paris et du territoire Français : Jacques  Jezequel était un  jeune membre des FFI, employé des Postes, ancien élévee du lycée Michelet qui vivait au 12 rue Gabrielle d’Estrée. René Sedes et Josette Sala dans leur livre consacré ces vanvéens dans la résistance « Ils voulaient simplement ne pas vivre à genoux » le rangent parmi les Libérateurs, tué à Versailles le 24 Août 1944. Cette ravenue méne à la place Albert Culot, un  sous lieutenant à la directon générale des études et recherches qui travaillait à la gare SNCF de Vanves Malakofet  et habitait rue Dadi Carnot. L’un des fondateurs de la Résistance à Vanves, Il faisait partie des résistants et du réseau « Alliance » qui causa quelques soucis au SD et à  la Gestapo. Il a déporté et fusillé par les nazis au camp du struthof le 1er Septembre 1944. Ses deux noms comme ceux des autres résistants et déportés ont été donnés à certaines rues et places de la commune par la municipalité communiste qui a dirigée la ville peu de temps après la libération. Elle avait même débaptisé le boulevard du Lycée en Boulevard de Stalingrad, mais peu temps, puisque René Plazanet lui redonna son nom d’origine. 

    A Suivre...