Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ville de vanves - Page 287

  • LES BENEDICTINES DE VANVES CELEBRENT LE CENTENAIRE DE LEUR CONGREGATION : 1 - LA CREATION

    La Congrégation bénédictine de Saint Bathilde fondée en 1921 entre dans l’année du centenaire de sa création, le 30 Novembre 2021 par un rassemblement non pas de toutes les méres prieures des monastères créés à travers le monde, à cause de la crise sanitaire, mais des communautés présentes en France avec deux journées de rencontres dés lundi, une messe célébrée par Mgr Rougié, Evêque du diocése des hauts de Seine, à 12H le mardi 30 Novembre, avec la projection d’un film au théâtre le Vanves l’après-midi . Occasion de rappeler son histoire en 3 actes

    Les Bénédictines de Sainte Bathilde souvent nommées Bénédictines de Vanves sont une congrégation religieuse féminine de  droit pontifical vivant la vie monastique ouverte sur le monde avec une attention à l'unité des chrétiens dans l'élan missionnaire. Bénédictine Waddington Delmas avec soeur Marie Scholastique Richard à Paris ont créé cettte congrégation en 1921, mais elle ne s’est s’installé que bien plus tard à Vanves dans ce prieuré Saint Bathilde  construit en 1934 par dom Bellot. Veuve protestante récemment convertie au catholicisme, Marguerite Waddington-Delmas était devenue le 11 Juillet 1918, Oblate de l’Abbaye Saint Martin de Ligugé et pris le nom de sœur Bénédicte. Cette mére de 6 enfants, venant de l’église réformé, était entrée dans l’Eglise Catholique en 1916. Elle communiquera à sa famille monastique, avec sa foi profonde, son souci d’humanité, le respect des confessions chrétiennes, le désir d’unité, l’attention au monde qui l’entoure.

    Elle a pensé ensuite à entrer dans la vie religieuse et en a parlé à Jean Martial Besse, bénédictin de Ligugé qui lui suggère une oblature régulière, c’est à dire un institut de femmes qui suivent la régle de Saint Benoît, mais sans la clôture religieuse (marquée physiquement par des barreaux, mur, grille, porte verrouillée), tout en conservant la double dimension de « consécration » (appartenance à Dieu) et de «protection ascétique» (de la vie religieuse).  Ainsi pour chaque sortie, même régulière, toute sœur doit demander et obtenir l’autorisation de sortir (pour un cours à l’institut Catholique, ou suivre un atelier, aller animer un groupe de prière, ou une activité sociale) à la mére supérieure. Il préconisait une communauté qui exerce une hospitalisation ouverte, à la manière des monastères masculin. Cette Congrégation respecte la pratique des trois vœux d’Obéissance, de Chasteté, de Pauvreté selon la règle de Saint Benoit. «Son but spécial est de mettre la force de vie contemplative au service de l’œuvre missionnaire de l’Eglise » selon la constitution des Bénédictines Missionnaires

    La rencontre de Marguerite Waddington-Delmas avec Gabrielle Richard, (sœur Marie-Scholastique) oblate de Ligugé a été capitale.  Pour avoir une connaissance de la vie religieuse bénédictine en vue de la future fondation, toutes les deux ont désirés recevoir la formation du noviciat à l’abbaye de Jouarre, où elles ont fait leur profession religieuse le 30 novembre 1921, acte par laquelle une nouvelle branche de la famille bénédictine a pris naissance, et se sont installés avenue de Ségur dans un petit hôtel particulier le 2 janvier 1922. En janvier 1924, elles ont instituée pour la première fois à Paris l’octave de priére pour l’unité des Chrétiens. Comme le 28 février 1926, Pie XI, dans son encyclique Rerum Ecclesaie demandai aux ordres contemplatifs de fonder des monastères en pays de mission, la jeune communauté a sentie qu’elle devait répondre à cet appel dès que les circonstances le permettraient et renouer ainsi avec la vieille tradition missionnaire de l’ordre bénédictin. Le 24 juin 1926, la congrégation des réguliers a autorisé le nouvel institut sous le nom d’oblates missionnaires de saint Benoît. Le cardinal Dubois signait le décret d’érection le 15 août. Plus tard la communauté s’est placée sous le patronage de sainte Bathilde selon le vœu de Don Besse et s’est installée à Vanves…

    A Suivre

  • BILAN DE MANDAT DE FLORENCE PROVENDIER AVEC GABRIEL ATTAL

    Depuis quelques jours, un document de 8 pages est distribué tant à Vanves qu’à Issy les Moulineaux dans la 10 circonscription des Hauts de Seine présentant le bilan de mandat de la député LREM Florence Provendier qu’elle a présentée lors d’une réunion publique au centre de loisirs de l’Abbé Derry, tout à côté de Vanves (et du Rosier Rouge) à Issy les Moulineaux, mercredi soir, avec Gabriel Attal bien sûr dont elle était la suppléante avant qu’il ne devienne ministre de la jeuneuse en lançant le service civique, puis porte parole du gouvernement où il a pris du poids (politique) devenant incontournable

    «5 ans se sont écoulés depuis que mon chemin a croisé celui d’Emmanuel Macron qui m’a donné envie de m’engager politiquement. Quelques mois après, j'ai fait la connaissance de Gabriel Attal, une rencontre qui va transformer ma vie. Devenue députée le 17 novembre 2018, ce mandat est un immense honneur, une chance, un défi également» a-t-elle expliquée. «Des année exceptionnelles, pour moi qui vient de la société civile, et pour nous tous marquée par une crise sanitaire sans précédent, qui nous a contraint à adapter nos modes de vies… La pandémie nous a forcé à nous adapter en permanence, avec comme objectifs prioritaires, la sécurité sanitaire de tous, la protection des plus fragiles, la préservation de l’ensemble des acteurs économiques, ainsi que le soutien à la relance pour bâtir le France de 2030 ».

    Elle a commentée ses 8 pages du document, chacune consacrée à un théme : «Œuvrer à un monde plus juste et plus durable », «Les enfantsd ’abord », «Vivre la culture », «Tout est liée » sur sa mission sur le développement durable confiée par le premier Ministre, « France Relace pour construire la France de demain » qui l'occupe beaucoup ces temps-ci…

    «Dans mon travail de député, j’ai voulu également  porter les sujets sur lesquels je me suis engagée depuis des années : la défense des droits de l’enfant et de la jeunesse, l’accès de tous à la culture, et la mise en œuvre des objectifs de développement durable de l’agenda 2030 pour un monde plus juste et plus durable» a-t-elle expliqué en voulant rappeler «les grandes actions réalisées ensemble avec le gouvernement, partager les progrés accomplis, les petits pas comme les plus grandes avancées, et quelques souvenirs qui ont marqué mon mandat »  comme ce voyage en Arménie où elle est allée lors de la guerre du haut Karabagh en Octobre 2020 pour « apporter mon soutien au peuple arménien et témoigner » ; ou cette visite dans un  foyer d’hébergement pour mineurs non accompagnés où des jeunes ont séjournés pendant la pandémie : «Je leur ai apporté un petit cadeau, des masques cousus par des dames de la Croix Bleue Arménienne d’Issy les Moulineaux. Ils étaient super contents. C’était drôle de voir ces masques Winnie l’Ourson portés sur ces grands gaillards. J’aime quand la solidarité s’exprime de la sorte »

    De son côté Gabriel Attal qui s’exprime dans ce document sur son rôle de plus jeune ministre de la Ve République, n’en a pas moins gardé des moments clés du temps où il était député de la circonscription : : Le One Planet Summit  à la Seine Musicale où il avait accueilli le président de La République qui recevait les chefsd’Etat du monde entier : «C’est ici mêle que des actions de financement de la transition écologique et de lutte contre le réchauffement climatique ont été décidé ». L’invitation des enfants de la circonscription dont certains des quartiers populaires  (de Boulogne) à l’Elysée pour la réception des  bleus vainqueur de  la Coupe du Monde en 2018 : «Voir leur enthousiasme, leurs sourires, la fierté de pénérer à l’Elysée, c’était un immense bonheur ». Mais rassurez-vous, ce n’est pas parce qu’il est ministre, qu’il n’ a pas gardé un pied dans la circonscription, très présent aux manifestations locales, aux conseils municipaux de Vanves : «J’y habite toujours. J’y suis toujours,. Nous travaillons main dans le main avec Florence, on avance ensemble ». Et, même sans le dire, il n'est pas faux de penser qu'ils seront candidat ensemble en juin 2022 dans cette circonscription. 

  • CELEBRATION OECUMENIQUE ET REPAS POLYNESIEN AU ROSIER ROUGE A VANVES QUI A RECU MISS TAHITI

    Après deux ans sans culte en raison de la Covid, une messe a enfin pu être célébrée dans la petite chapelle du Rosier Rouge à Vanves, suivie d’un repas polynésien offert par le président du Pays et son gouvernement, à la mi-Novembre. Un événement passé inaperçu mais qu’ont rapporté quelques médias dont France Info. Il a rendu possible grâce au Congrés des Maires,  à la veille de la séquence Dom-TOM de ce grand-rendrez vous des Maires, le lendemain. Car de nombreux élus étaient présents, les maires  de Moorea Maiao, des Gambier, de Tahaa, de Rimatara, de Mahina, de Fatu Hiva et de Hao pour entourer les malades du fenua auxquels le président Edouard Fritch a offert un repas polynésien.

    La célébration oecuménique pour les malades polynésiens à Paris s’est tenue dans la belle chapelle du Rosier Rouge, présidée par le pasteur Hioe. Plus de 120 personnes ont pu assister à la célébration dont plus d’une cinquantaine de malades. À la fin de la célébration, la sénatrice Lana Tetuanui a pris la parole pour remercier, au nom du président Edouard Fritch et de tous les maires présents, le pasteur et l’assemblée pour cette belle célébration, ainsi que toutes les associations œuvrant en faveur des malades, comme « Te ramepa ora » et « A tauturu ia na », pour leur présence et leur engagement constant en faveur des malades.

    Un repas a ensuite été offert par le président du pays aux malades, aux accompagnateurs et à toute la communauté polynésienne présente. C’était également l’occasion de marquer les fêtes de fin d’année qui approchent et de redonner un peu de baume au cœur après une période pénible de restrictions sanitaires consécutive à la crise de la Covid 19. Les malades étaient ravis d’avoir pu échanger avec leurs Tavana. Certains maires ont ainsi pu prendre des nouvelles de leurs administrés et mieux mesurer ce que représente la vie des malades polynésiens évasanés en métropole

    Le Rosier Rouge a reçu aussi  Miss Tahiti lors d’une courte escale, quelques jours plus tard : Tumateata Buisson  (sur la photo) qui est vraiment une ambassadrice auprès des évasanés. Son programme chargé de visites à aris s’est achevé à Vanves avec l’accueil plus qu’émouvant des malades hébergés au Rosier Rouge. Une petite fête lui avait été préparée par les associations A Tauturu ia na et Te Ramepa ora que président Teva Pani et Nini Topata. Très émue et ne pouvant retenir ses larmes, la miss s’est adressée à ses compatriotes du Pacifique pour leur dire de tenir bon et de ne jamais désespérer, alors qu’elle-même, il y a quatre ans, avait été durement éprouvée lors de la perte de sa mère souffrant d’un cancer. «En tant qu’ambassadrice, c’est mon rôle, et je tenais à rencontrer les malades. C’est une cause qui me tient à cœur de défendre en tant que Miss Tahiti, et c’est aussi une cause Miss France... Aujourd’hui, une miss n’est plus qu’un physique ; elle a aussi des valeurs, des messages que l’on souhaite porter haut, grâce à son titre, et donner une voix à ceux qui n’en ont pas forcément. Et puis, il faut remercier toutes ces personnes qui travaillent pour nos malades».