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ville de vanves - Page 320

  • UN PROJET D’EIFFAGE IMMOBILIER A VANVES A DU PLOMB DANS L’AILE

    Le projet d’Effiage Immobilier rue Antoine Fratacci, à l’emplacement de deux pavillons face à l’hôtel de Ville et son square François Mitterrand ferait il l’unanimité contre lui. ? A L’occasion du dernier conseil municipaldu 23 Mars, le groupe LREM a de nouveau évoqué la demande de permis de construire qui fait l’objet d’une pétition du collectif DAPNE (Des Arbres  Pour Nos Enfants) .

    «La première demande n’a pas abouti mais une seconde demande aurait été déposée pour la construction d’un immeuble de 21 mètres de haut (6 étages et 70 logements) en lieu et place des 2 maisons avec jardins arborés. En effet, nous avons été alertés par des riverains regroupés au sein du collectif DAPNE (Des Arbres Pour Nos Enfants) qui ont lancé une pétition en ligne à ce jour plus de 800 signataires. Ce collectif dénonce le fait que la construction d'un tel immeuble provoquerait des nuisances intenses et continues (bruit, poussières, …) impactant directement la qualité de vie des écoliers et du personnel scolaire pendant au moins 2 années scolaires, augmenterait la température de la cour de l’école en supprimant de grands arbres qui constituent un îlot de fraîcheur et une source de biodiversité, aujourd'hui plus que jamais, indispensable, mais aussi dans les classes du bâtiment de maternelle dans lesquelles les températures atteignent déjà les 40°c en période de forte chaleur, et mettrait en danger nos enfants par la présence d’un bâtiment de grande hauteur donnant directement sur la cour de récréation de l’école maternelle !» indiquait Jean Cyril Le Goff

    «Après un premier refus de permis de construire prononcé le 3 mars 2021 et confirmé le 3 août 2021, malgré la décision du Préfet de région sanctionnant le refus d’accord exprimé par l’Architecte des Bâtiments de France, la commune est en effet saisie d’une nouvelle demande de permis de construire portant sur les terrains sis 40 et 42 rue Antoine Fratacci. Cette nouvelle demande, déposée le 22 décembre 2021 par la Société Eiffage Immobilier, est aujourd’hui en cours d’instruction. La commune ne peut donc pas communiquer sur ce projet, dont l’initiative incombe aux propriétaires de ces terrains. Les seules informations susceptibles d’être données sur la consistance du projet et déjà portées à la connaissance du public par les listes affichées sur les panneaux devant le Centre Administratif sont les suivantes : La demande porte sur la construction d’un ensemble immobilier de 74 logements collectifs (49 logements en accession libre et 25 logements locatifs sociaux), développant une surface de plancher de 4 185m² et d’une hauteur maximale de 21 mètres, après démolition totale des constructions existantes» a indiqué Pascal Vertanessian, maire adjoint à l’urbanisme  qui a précisé que les restrictions sur la possibilité pour la commune de communiquer sur ce projet ont déjà été portées à la connaissance des représentants du Collectif Des Arbres pour nos Enfants en février dernier. 

    Il a indiqué, comme il l’a fait lors de ces échanges, que «la commune n’est toujours pas favorable au projet, qui va à l’encontre des choix faits par la ville lors du réaménagement de l’Espace Cabourg, avec notamment la conservation du pavillon ayant abrité le commissariat de police. Le secteur où l’opération est envisagée présente en effet plusieurs caractéristiques, qui appellent la plus extrême vigilance. Le site est d’abord situé à proximité d’un équipement scolaire important. De plus, compte tenu de sa topographie, de l’échelle du bâti existant et de ses qualités paysagères, ce site constitue une séquence urbaine qualitative et un espace de respiration dans le paysage de la commune» a-t-il indiqué. Le collectif a recensé sur les 1700 m2 de jardin de ces deux pavillons, 42 arbres dont une dizaine serait centenaires.    

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    HORAIRES BUS

    Grâce à une question posée par un élu de la majorité municipale au dernier conseil municipal, les vanvéens ont eu un début de réponse sur le fait que, depuis le déploiement des nouveaux abribus sur le territoire de GPSO, ces derniers sont dépourvus d’affichage dynamique indiquant le temps d’attente des bus. Outil précieux pour tous les usagers, en particulier pour ceux qui ne maitrisent pas les applications mobiles de la RATP ou d’Ile-de-France mobilités, l’absence de cet affichage cause de nombreux désagréments aux voyageurs. «A cet effet, GPSO a contacté les transporteurs au début de l’année 2020, puis en2021 pour les informer du calendrier des opérations de JCDecaux. L’objectif était de coordonner la dépose et la repose des informations voyageurs avec celle des abris pour assurer une continuité. Etant donné qu’il s’agit d’une opération de grande ampleur (environ 280 abris installés), la RATP s’est rapprochée d’Ile-de-France Mobilités, son donneur d’ordres, pour valider le principe et obtenir un financement des opérations (dépose de l’existant, fourniture de poteaux provisoires, repose après travaux). En parallèle, Ile-de-France Mobilités a souhaité profiter de cette opération pour déployer une nouvelle charte graphique, ce qui a engendré un délai et des coûts supplémentaires pour la RATP. Entre temps, le remplacement des abris voyageurs a été effectué par JCDecaux, l’information voyageurs ayant d’abord migré sur poteau provisoire, puis réintégré sous abri de manière provisoire (à l’exception des bornes d’information voyageur). Nous avons appris lundi dernier  (20 Mars) qu’Ile-de-France Mobilités a finalement validé l’ensemble de l’opération auprès de la RATP. Nous serons donc prochainement destinataires d’un planning d’intervention de la RATP pour la repose définitive de la nouvelle charte graphique mais aussi et surtout de la repose définitive des bornes d’information voyageur, tant attendues » a indiqué Bernard Roche.

    UN REPUBLICAIN VANVEEN DEPITE

    A moins de 4 Jours d’un nouveau meeting de Valérie Pécresse à côté de Vanves dimanche au parc des Expositions, où elle tentera de «laver l’affront » selon les mots de Geoffroy Didier, son directeur de la communication, « du Zénith raté à partir duquel tout s’est enrayé », un militant LR a fait état de sa déception sur les prestations de lacandidate LR à la TV, où elle excelle mieux, parait il que sur le terrain ou les meetings : «A trop parler du Président, elle en fait la campagne. A trop parler d’immigration, elle fait la campagne du RN et de Monsieur Z.   A ne pas parler de soi et de son programme, on montre ses lacunes, son trop peu de soutien, son absence de charisme. Que Valérie Pécresse se rassure, «les français ne se laisseront pas voler cette élection», en tout cas certainement pas par elle. Quand on est très loin du niveau, on accuse les autres de plagiat. On y est ! Sa déception est lisible, la défaite est criante. Son absence de programme est éloquente, ses changements de direction et d’idées sont quasi quotidiens. Une girouette. Un poulet sans tête en fait. Tout cela pour 10% tout au mieux. Il lui reste 2 semaines pour rendre les clés des LR. Vivement que cela se termine pour un parti qu’elle va laisser en lambeau. Elle ne laissera aucune trace. Les plus modérés, comme moi, voteront Macron. Les plus engagés, enragés, déçus, trompés, sont déjà chez Zemmour»

    UN GATEAU A DEFAUT D’UN BANQUET

    Grâce à l’ouverture d’un nouveau magasin de produits italien fort apprécié des vanvéens, rue Louis Blanc, Il vicoletto by Amervino,  la ville de Vanves a eu l’idée d’offir une spécialité italienne aux ainés de Vanves, à défaut des banquets du noyel an supprimé en 2021 et en 2022 à cause du confinement provoqué par la rise sanitaire, Ils auront droit au gâteau « colombia »

  • L’APPLICATION A GEOMETRIE VARIABLE DU PRINCIPE DE PRECAUTION ET DE PRENVENTION A VANVES

    Cette semaine a démontré que la ville de Vanves, très rigoureuse parait il sur le principe de prévention, pour éviter à son maire d’être mis en cause "intitue personae" en cas d’accident, l'applique à « la petite semaine ». Un article du Parisien, lundi dernier,  a fait état d’une  longue démarche d’un parent d’éléve Laurent Delrieu et de procédures pour lever l’opacité de la municipalité sur la présence d’amiante dans des écoles (Larmeroux, Le parc, Marceau). Ce  qui a provoqué une question orale de Severine Edou (LREM) au conseil municipal qui lui a valu cette remarque du maire : « Merci de nous rappeler à nos obligations qui nous auraient échappés ». Preuve qu’il y a eu une sorte de défaut de la municipalité dans l’application de ce principe.

    Par contre, autre exemple, les stadistes vanvéens attendaient depuis lundi dernier à l’occasion de la levée du pass sanitaire et du masque, que l’accés par la rue Jean Baptiste Potin du PMS A.Roche,  soit possible, comme ce fut la cas à la fin du confinement au printemps 2021. La mairie a fait avoir que ce n’est pas possible à cause de Vigipirate, alors qu’il n’y pas eu une hausse du degré de vigilance par rapport au printemps 2021 lorsque l’accés avait, de nouveau, été ouvert. Ce qui est incompréhensible  aux yeux des habitués, d’autant plus qu’il n’y a aucun contrôle de l’accés à l’entrée du Docteur Arnaud par les gardiens, souvent absent, alors que ce n’était pas le cas lorsque le pass-sanitaire était exigé,  comme l’ont constaté nombre d’habitués. A Croire que le mairie de Vanves applique plutôt le principe « d’enmm… » . Mais beaucoup l’expliqueraient par l’hostilité du service des sports qui date de mathussalem à cet accés au PMS où pourtant ont été installé une caméro de viéoprotection, avec et un tourniquet  pour justement sécuriser les entrées du PMS.  

    «Vous avez été alerté à plusieurs reprises et par de nombreuses voies administratives sur la présence d’amiante dans des locaux municipaux accueillant du public, plus particulièrement dans les écoles Larmeroux, Marceau et du Parc, ainsi que la bibliothèque municipale. Si nous savons, enfin, que ce n’est pas de l’amiante dégradée et que cela ne fait pas particulièrement courir de risques à nos enfants et aux personnels techniques, nous souhaitons avoir de plus amples précisions quant aux actions menées en termes de désamiantage et d’information aux populations concernées» a déclaré Séverine Edou lors du dernier conseil municipal mercredi dernier en prenant l’exemple de l’école Larmeroux : «Comme vous le savez, la présence d’amiante a été détectée dans le préau de l’école (poteaux) ainsi que dans la colle du sol d’une salle destinée à l’accueil des enfants. Il en est de même dans la chaufferie et sur les allèges des fenêtres. Nous pensons que les allèges des fenêtres du bâtiment des logements de fonction en cours d’aménagement en Centre de loisir sont également concernées, or la construction d’un escalier extérieur jouxte ces fenêtres, et seul le rez-de-chaussée a fait l’objet d’un désamiantage».

    Et de la bibliothèque municipale : « Ses 600m2 de plafond contiennent de l’amiante non dégradée et protégée par de faux plafonds. Un désamiantage est-il prévu lors de sa prochaine rénovation ? Nous souhaiterions savoir si des travaux sont prévus sur l’ensemble des bâtiments municipaux concernés afin de prévenir tout risque futur de dégradation ? Si la municipalité a mis en place un plan d’information des risques à l’attention des personnels techniques intervenant dans les chaufferies ? Si des études et diagnostiques amiante ont-ils été menés avant la destruction des locaux techniques de la ville pour y construire l’école provisoire du Parc ? Nous vous remercions des réponses et précisions que vous apporterez sur ce sujet de santé publique qui engagent la responsabilité de la ville de Vanves et la vôtre en tant qu’employeur et 1er magistrat de notre commune.» a-t-elle demandée

    «S’il est vrai que la ville a été sollicitée par un même administré pour des demandes de transmission de diagnostics techniques amiante (DTA) de certains bâtiments communaux, je tiens à vous rassurer et vous assurer que la présence d’amiante dans les bâtiments est-elle en revanche connue et suivie par les services qui en ont la gestion »a assuré Pascal Vertanession maire adjoint à l’urbanisme en entrant dans les détail : «Concernant l’école Larmeroux, les allèges des fenêtres du bâtiment des logements de fonction amené à devenir le futur centre de loisirs sont dépourvus d’amiante au regard des diagnostics avant travaux réalisés. Un désamiantage a déjà été opéré suite aux diagnostics avant travaux et à la validation, par les organismes officiels compétents, du plan de retrait en découlant, conformément à la réglementation en vigueur .Pour la bibliothèque, un désamiantage est bien prévu. Il a été contractualisé dans l’appel d‘offres dédié à ces travaux (lot 1) et sera exécuté, comme explicité préalablement, conformément à la réglementation en vigueur qui s’impose» a-t-il indiqué..

    « Ensuite, sur la question de savoir si des travaux sont prévus sur l’ensemble des bâtiments municipaux concernés afin de prévenir tout risque futur de dégradation. Les matériaux amiantés repérés (matériaux de la liste B de l’annexe 13-9 du code de la santé publique) sont soumis à une recommandation d’effectuer une évaluation périodique qui consiste à contrôler périodiquement que l’état de dégradation des matériaux et produits concernés ne s’aggrave pas et, le cas échéant, que leur protection demeure en bon état de conservation sans que la réglementation n’impose de fréquence d’évaluation. Par conséquent les services de la ville se conforment à la réglementation et il n’est pas prévu d’autres opérations de désamiantage à ce jour. Concernant votre question sur le plan d’information des risques à l’attention des personnels techniques intervenant dans les chaufferies, je vous confirme que les entreprises intervenantes ont eu transmission des documents au lancement d’exécution des marchés correspondants. Enfin, concernant l’école du Parc, des diagnostics amiante avant travaux ont bien eu lieu afin de définir le périmètre qui sera soumis à la mission de désamiantage, les cahiers des charges étant en cours de rédaction par la maitrise d’ouvrage déléguée et la maitrise d’œuvre désignée pour cette opération».