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  • LUC CHATEL AU LYCEE DE VANVES

    Luc Chatel, ministre de l’éducation nationale est au Lycée Michelet ce matin dés 8H30. Il sera accueillit par son proviseur Patrick Sorin, mais aussi par nos élus : Bernard Gauducheau, maire de Vanves, Isabelle Debré, Sénateur des Hauts de Seine, André Santini, député,  Guy Janvier Conseiller Général, Lucille Schmid Conseillére Régionale. Cela fera bneaucoup de monde pour cette rencontre ministérielle avec des éléves, des enseignants, des parents d’éléves. Et là, pas uniquement UMP ou NC, en tous les cas on peut espérer qu’un conseiller ou autre collaborateur n’ait prévu qu’il ne rencontre que des gens bien intentionnés.  D’autant plus que c'est son baptême du feu dans ses nouvelles fonctions de ministre de l'éducation. Il a promis de continuer les réformes dans l'Education nationale et de dialoguer avec les syndicats d'enseignants qui voient ses projets avec méfiance. Luc Chatel s'apprête à ressortir les dossiers lourds de son cartable: suppressions de postes, réforme des lycées, emplois de vie scolaire... Les syndicats sont sur le qui-vive et prêts à saquer. Ambiance demain au Lycée Michelet qui devrait sûrement être sa première visite sur le terrain mle premier jour de la Rentrée.

  • VANVES ET LE 92 FACE A LA GRIPPE /H1N1

    C’est le sujet d’actualité de ses vacances d’été et de la Rentrée. Nous terminons ce tour d’horizon par quelques informations sur ce qui a été mis en place :

     

    Un Plan de continuité d’activités :

    « Qu’il s’agisse du secteur public ou privé, il est demandé aux employeurs d’anticiper la survenue d’une pandémie grippale (ou toute autre situation de crise majeure) en élaborant un « plan de continuité d’activités ». Son objectif est de minimiser les impacts d’une crise ou d’une catastrophe. L’architecture de ce plan prévoit une hiérarchisation des missions et évalue les ressources nécessaires à la continuité des activités tant dans les services de l’Etat, que ceux des communes et des entreprises.

    Référent pandémique :

    « Il a pour mission de coordonner au niveau communal les directives nationales en matière de pandémie. Son objectif est d’alerter et d’accompagner les professionnels de santé et de protéger au maximum la population ». Les 36 référents pandémiques désignés le 30 Avril dernier ont été réunis 2 fois. Ils sont régulièrement informés de la situation épidémiologique au plan national comme sur le département, sur les mesures prises par l’Etat dans les Hauts de Seine. Ils jouent un rôle actif pour la mise en place du plan de distribution des équipements de protection en remontant à la DDASS les informations pratiques sur les lieux de stockage des masques. Ils doivent veiller à ce que le plan de Sauvegarde intégre une annexe « pandémie sur laquelle est recensée les professionnels, les lieux de vaccination, les lieux d’hébergement éventuels, le centre de coordination sanitaire et social, véritable cellule de crise

    Médecins de ville : Ce sont désormais, et non plus, les intervenants de référence pour accueillir et traiter les malades à l’exception des nourrissons  de moins d’un an. Ils sont la porte d’entrée naturelle dans le système de soins. Un site internet leur a été dédié (www.grippe.sante.gouv.fr) depuis le 23 Juillet dernier pour les informer en temps réel des recommandations de prise en charge des patients.

    Plan départemental de distribution des équipements de protection :

    Elaboré par la DDASS en lien avec la préfecture, il prévoit l’approvisionnement des personnels de santé en contact direct des malades et des personnes suspectes de maladie en masques de protection. Il comprend une estimation des volumes à distribuer aux établissements de santé, sociaux-médicaux, aux personnes âgées, professionnels de santé libéraux, structures intermédiaires, ambulanciers, associations de secourisme, établissements sociaux. En période de pic pandémique, la consommation quotidienne de masque est estimée à plus d’une centaine de milliers. Ce plan a prévu une fiche réflexe (de procédure) destinée aux centres de distributions communaux. Elle permet ainsi à tout agent municipal de comprendre son rôle. Elle est accompagné d’une fiche descriptive des équipements (caractéristique d’un masque FFP2) pour prévenir toute confusion sur la nature et l’usage des masques

    Plateforme logistique départementale :

    Elle est gérée par France Express 92 (Groupe Géodis). Il s’agit d’un hangar de 3000 m2 accessible et sécurisé. Elle reçoit des palettes de cartons de masques en provenance de la plateforme zonale qui organise la distribution de cartons de masques à destination des 36 communes qui eux même organisent la distribution aux médecins libéraux, aux 18 établissements de santé altoséquanais. Ainsi cette société de transports spécialisée devra approvisionner 53 points de distribution

  • VANVES ET LE 92 FACE A LA GRIPPE A H1N1

    C’est le sujet d’actualité de ses vacances d’été et de la Rentrée. Le Maire doit participer aujourd’hui à la quatriéme réunion du Préfet avec les 36 Maires altoséquanais, et leur référant « Pandémie » pour mettre au point le plan départemental de vaccination.

     

    Le préfet vise une articulation

     

    sans faille de tous les acteurs

     

     

    « Il n’a pas de raison de s’alarmer mais des motifs de se préparer ». Cette déclaration tenu du ministre de l’intérieur Brice Hortefeux lors de sa visite de la plateforme logistique départementale retenue par la préfecture des Hauts de Seine pour distribuer les masques dans le cadre de la grippe A/H1N1 le 31 Juillet dernier est finalement une réponse au débat qui n’a cessé de se développer cet été : « A trop alerter, n’a-t-on pas inutilement alarmé ? ». « La vigilance est de régle » n’a cessé de rappeler Roselyne Bachelot, ministre de la Santé  - face à un Bernard Debré parlant de « gripette » - qui confiait à l’Express  : « je préfère que l’on nous reproche aujourd’hui d’en faire plutôt trop que de nous reprocher dans 3 mois de ne pas en avoir fait assez ». En tous les cas, le préfet Patrick Strzoda n’a pas chômé : « En anticipation des conséquences, notre mobilisation au plan local se doit d’être exemplaire pour apporter à nos concitoyens la sécurité à laquelle ils ont droit. Cela passe par une articulation sans faille de tous ceux qui concourent à cet objectif » expliquait il le 17 Aôut dernier en citant les professionnels de santé, les collectivités locales, les entreprises et les services de l’Etat dans leur missions régaliennes. Il venait de présider le CODAMUPS (Comité Départemental de l’Aide Médicale Urgente, de la Permanence des soins et de transports sanitaires), de réunir les référents pandémie grippale des communes, le collège des chefs de services de l’Etat…. Il avait signé une circulaire sur l’accueil en centre de loisirs et de vacances qui s’est traduit par l’envoi d’une fiche de recommandation à chaque responsable de lieu d’accueil collectif de mineurs qui rappelle les gestes élémentaires pour limiter la portée du risque pandémique, pour détecter les symptômes grippaux ainsi que la procédure à suivre en cas de suspicion de cas

    Pour l’instant, la France est au niveau 5A du plan national. Il correspond à une expansion géographique de la transmission interhumaine du virus à l’étranger (repérage des voyageurs revenant de pays touché et les informer de ce qu’il convient de faire en cas de symptômes – Information à destination du grand public lancée par le ministère de la Santé afin de rappeler les gestes élémentaires de prévention). « La situation actuelle du pays, en comparaison du continent américain, ne justifie pas encore l’application de mesures visant à restreindre la circulation des personnes » explique t-on à la Préfecture. « Certaines mesures ont néanmoins été prises, à titre de précaution, comme la fermeture de certains établissements scolaires  suite à une suspicion de grippe liée au virus AH1N1 qui n’ont pas été confirmés après des tests » ajoute t-on. Ainsi une dizaine de classes ont été fermées (sur 4 établissements) avant les vacances, 79  cas avérés ont été détectés à Issy (57) et à Rueil (22) parmi des groupe de jeunes étrangers en séjours linguistiques dans des établissements scolaires fin Juillet, ainsi qu’un personnel soignant de l’hôpital Foch de Suresnes en Août.

    AU CAS PAR CAS

    Enfin, il faut savoir que le relèvement du niveau d’alerte 5A à 5B équivaut à un démarrage de la pandémie sur le territoire français entraînant des mesures identiques en situation 6, dont il conviendra, en fonction de la situation, d’évaluer leur pertinence au niveau local : Il s’agit de mesures de freinage et de limitation d’extension de la maladie entraînant la fermeture des établissements d’enseignements ou plus généralement de tous les lieux d’accueil des mineurs, qui ont montrer toute leur efficacité pour limiter l’extension de la maladie. Des mesures plus contraignantes peuvent exiger une décision gouvernementale : arrêt des transports en commun, suspension des activités collectives, limitation des déplacements individuels aux seuls nécessaires par appel au civisme. « Tout est indiqué dans le plan national de pandémie grippale : Pour chaque niveau, un ensemble de mesures sont prévues, nationales et locales. Il est important de savoir que ce sont des mesures préconisées, des propositions à examiner au cas par cas avant de les mettre en œuvre. Nous ne sommes pas devant un plan dogmatique où l’affichage d’un niveau entraîne automatiquement un certain nombre de mesures. Mais devant la constatation d’un niveau d’épidémie,  il permet l’utilisation dans une boite à outils des mesures qui sembleraient pertinentes, et qui devront être examinées selon l’intensité de la contamination et le niveau de virulence et de dangerosité du virus. Ce plan a été construit dans une logique de grippe aviaire avec des mortalités qui auraient été fortes (1 à 2% des personnes contaminées). Nous sommes aujourd’hui devant une mortalité qui est comparable voire inférieure à une mortalité de grippe saisonnière. On devra agir au cas par cas de façon pragmatique avant de prendre les décisions adaptées » expliquait récemment Bernard Kirschen, directeur de la DDASS 92 à Première Heure.

    « Nous attendons des élus qu’ils mettent en œuvre cette connaissance fine qu’ils ont de leur population, et vers une partie de laquelle il faudra avoir une attention particulière (personnes isolées et fragiles)… dans une situation où nous préparons, avec sang froid, l’intégralité des mesures face à un événement qui présente un risque à partir du moment où nous entrons dans la saison d’automne avec le retour de la grippe saisonniére. C’est pourquoi nous devons être vigilant en mettant en place tous les processus de préparation, sans être à un niveau de situation où nous avons une acuité particulière sur le sol métropolitain. Le principe de précaution prévoit que l’on se dote de tous les éléments de préparation » indiquait Didier Montchamp, secrétaire général de la Préfecture des Hauts de Seine.  Et c’est là que prennent toute leur valeur les plans de continuité de services pour permettre au pays de continuer à fonctionner aussi normalement que possible. Un des points sur lequel le préfet Patrick Strzoda a énormément veillé durant ses vacances afin notamment que certains services, essentiel, continuent à fonctionner normalement, quitte à faire appel à un renfort  d’effectifs affectés à d’autres missions.

     

    A SUIVRE….

     

    DANS LE CREUX DE L’OREILLE

     

    MICHELET : UNE VISITE PRIVILEGIEE

    Comme l'an dernier, quatre professeurs impliqués dans la journée du patrimoine – Le 19 Septembre prochain -  se mobilisent pour présenter à tous ceux qui font leur première rentrée à Michelet, ainsi qu'à leurs familles, le passé et le site exceptionnels d'une grande cité scolaire. Tout d’abord, le 2 septembre 2009, pour les élèves de sixième et de seconde, ainsi que pour les étudiants des classes préparatoires aux grandes écoles. C’est la tradition surtout pour les éléves de sixiéme! Les 10, 11 et 17 Septembre, ce sera au tour  des parents des élèves de sixième et de seconde. « C'est aussi une invitation à de plus amples découvertes lors de la visite guidée du 19 septembre » qui  se déroulera à partir de 14H précise. « Pour la troisième année, quatre professeurs de la cité scolaire de Michelet vous proposent deux approches complémentaires de l'histoire prestigieuse du lycée Michelet qui fut jadis une demeure seigneuriale. Deux courts métrages, réalisés par Madame Grandiau et projetés au théâtre de Michelet, seront commentés par Mesdames Chochillon, Maestracci et Renucci qui vous guideront également dans les allées du parc, pour mieux vous faire connaître les bâtiments classés « monuments historiques », notamment le superbe pavillon Mansart, ancienne propriété du prince de Condé » indique t-on au Lycée Michelet.