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  • ANNIVERSAIRES A VANVES

    Voilà, 20 ans 1989 fut une année d’élection municipale, les 12 et 19 Mars qui a vu l’équipe dirigée par Gérard Orillard reconduite avec l’entrée dans son équipe de deux personnalités de notre ville qui sont deux opposants et qui se sont succcédés tant à la mairie qu’au conseil général : Le 19 Mars 1989,  Bernard Gauducheau, maire actuel faisait son entrée comme  10éme maire adjoint chargé des Ecoles et de la Jeunesse. Vanves Au Quotidien l’a interrogé comme il l’a fait Dimanche dernier avec Guy Janvier, conseiller Général actuel qui faisait son entrée comme membre de l’Opposition. Il faut ajouter un 3éme mousquetaire : Philippe Nicolas qui était l’adjoint chargé des finances, des écoles et de la Jeunesse durant le 1er mandat de maire de Bernard Gauducheau, et qui a conduit la liste Modem aux dernières élections municipales.  

     

    INTERVIEW DE

    BERNARD GAUDUCHEAU :

     

    « L’échelle communale est un terrain privilégié »

     

    Vanves au Quotidien - Quels regards portez-vous sur ces 20 ans au service des vanvéens ?

    Bernard Gauducheau : « Tout d’abord, ces 20 ans m’ont permis d’accomplir un idéal, celui de servir mes concitoyens au nom de l’intérêt général. Comme l’écrivait Saint-Exupéry, j’ai pu modestement mesurer qu’ « être homme, c'est précisément être responsable. C'est sentir en posant sa pierre, que l'on contribue à bâtir le monde». A l’heure où notre société est parfois victime de l’individualisme, l’engagement au service d’autrui à travers des activités associatives ou politiques est important et il est la clef pour créer les conditions de la justice sociale.

    Si le monde dans lequel on évolue ne nous satisfait pas alors il faut agir pour qu’il soit davantage en harmonie avec nos idéaux. Mes différents engagements politiques et notamment le mandat de Maire m’ont permis de concrétiser cet idéal qu’en tant que Républicain et démocrate, je porte au fond de mon cœur. Pour ma part, la politique est un combat mais pas celui qui oppose forcément différentes tendances politiques. A mon sens, l’élu local est surtout le premier soldat du combat des solidarités et un recours incontournable face aux  difficultés que la vie réserve à chacun d’entre nous. Souvent difficile et ingrat, le dévouement à autrui est surtout la plus belle et la plus noble des missions.

    Après 20 années de vie politique, je suis davantage persuadé que les maires et les élus municipaux sont au coeur de la démocratie où se relèvent les défis de notre société. L’échelle communale est le terrain privilégié pour agir en faveur de la solidarité, mettre en œuvre des changements réels, et défendre les valeurs de la démocratie et de l’égalité des chances.

     

    VAQ - Quels ont les éléments positifs et négatifs de ces 20 années ? Ce dont vous êtes le plus fier ? et le moins fier ?

    B.G. : «  Plusieurs choses me paraissent importantes à souligner. En premier lieu, je suis fier d’avoir aidé de très nombreux Vanvéens à surmonter des moments difficiles dans leur vie personnelle ou dans la réalisation de leurs projets. Il n’y a pas d’expérience humaine plus enrichissante.

    Deuxièmement, la dynamisation de la ville de Vanves qui lui a permis de s’embellir, de se moderniser et de devenir une commune agréable à vivre pour le plus grand nombre de nos concitoyens. C’est une satisfaction d’avoir contribué à mettre en valeur les richesses humaines de notre commune (aides aux associations, aux artistes vanvéens et aux personnalités locales …) qui favorise un attachement de plus en plus fort à notre territoire.

    Troisièmement, notre commune s’inscrit désormais pleinement dans un bassin de vie attractif englobant le périmètre des communautés d’agglomération Arc de Seine et de Val de Seine. Nous avons permis à notre ville de prendre part à une dynamique territoriale forte qui plus que jamais est tournée vers l’avenir et aura du poids dans les réflexions relatives au Grand Paris.

    Je suis fier d’avoir prouvé à mes concitoyens qu’un homme politique peut tenir ses engagements, comme ce fut le cas avec la réalisation du programme de l’équipe municipale de 2001 et la mise en oeuvre politique pour laquelle nous avons été réélus en 2008. Bien entendu, la gestion d’une ville n’est pas une chose aisée et Vanves, comme d’autres communes, n’est pas exempte, de difficultés sociales ou de baisses des recettes pour faire fonctionner les services municipaux. Mais à chaque fois la mobilisation de l’équipe municipale et des fonctionnaires territoriaux a permis de gérer efficacement la ville tout en améliorant les services publics.

    Ce qui peut me chagriner, c’est de ne pas pouvoir répondre toujours positivement aux requêtes des Vanvéens. Les pouvoirs du Maire ne sont malheureusement pas illimités. Dans une période tendue comme celle que nous traversons actuellement, nos concitoyens attendent beaucoup de la part des élus et nous sommes parfois soumis à des déceptions violentes.

     

    VAQ - En quoi ces 20 années vous aident elles aujourd’hui dans votre fonction de Maire ?

    B.G. : «  20 années de mandat m’ont personnellement apporté énormément et je crois avoir appris à savoir utiliser tous les moyens et les connaissances dont je dispose pour faire avancer les dossiers en faveur de mes concitoyens. Cependant, l’investissement dans la vie publique réserve toujours des surprises et il ne passe pas un jour sans que j’en tire de nouveaux enseignements. C’est aussi cette réalité qui fait d’un mandat électif une fonction si captivante, prenante et enrichissante.

    J’ai aussi pris davantage la mesure du travail en équipe et de l’ouverture sur les partenaires extérieurs et la société civile. J’en profite pour remercier l’équipe municipale composée des élus avec lesquels je travaille quotidiennement au service des Vanvéens. Mes remerciements se tournent vers le personnel communal pour leur professionnalisme permettant de concrétiser le programme de la municipalité. Je remercie aussi Les partenaires comme Arc de Seine, le Conseil Général des Hauts-de-Seine … nous ayant aidé à la réalisation de nombreuses actions au bénéfice des Vanvéens. Merci aussi à toutes celles et tous ceux qui m’ont entouré au cours des 20 dernières années (les amis, les sympathisants, les militants …) et qui nous ont toujours soutenu.

    La réussite repose sur la capacité à fédérer les énergies pour faire progresser Vanves. Voila pourquoi nous avons pleinement associé et informé nos concitoyens aux projets municipaux à travers les instances de participation pour qu’ils deviennent de véritables acteurs de la vie locale.

     

     

    19 MARS : CLIMAT APAISE A VANVES

     

    Le 19 Mars 2009 est aussi un anniversaire célébré et controversé pour les anciens combattants, marquant le 47ème anniversaire du Cessez-le-feu de la guerre d’Algérie. Il est commémoré chaque année devant la stéle des anciens combattants d’Afrique du Nord au centre du carrefour Sadi Carnot/Rabelais sur le Plateau – à 11H15 aujourd’hui – édifié sous le mandat de Guy Janvier avec la sculpture d’un bateau qui avait profondément choqué certains pieds noirs de Vanves à l’époque…. Et une polémique qui avait empêché le Sous Préfet d’antony de présider son inauguration

     

    Mais depuis, l’eau a coulé sous les ponts, emportant les querelles d’antan, même si certains restent ferment sur leurs positions.  Que de chemins parcours depuis, comme l’ont constaté ceux qui ont assisté les deux week-ens précédents aux Assemblées Générales de l’UNC et de l’amicale des Pieds Noirs. A la première, le 8 Mars dernier, tout le monde a constaté  que la FNACA avec son président et des membres de son bureau étaient présents pour la première fois à cette réunion. « J’ai toujours fait l’effort pour qu’il y ait la concorde plutôt que la discorde au sein du monde combattant à Vanves. Afin de rappeler à tous et tous ensemble  le devoir de mémoire ! » avait alors  déclaré Bernard Gauducheau en se réjouissant de ce rapprochement. Paul Gaullaud, président de la 71éme section n’avait pas pu être à leur AG de Novembre à la suite d’un accident de moto qui l’avait immobilisé.

    Mais ce n’est pas tout, car une semaine plus tard, le 15 Mars, lors de l’AG de l’Amicale des Pieds Noirs, Jean Claude Abecassis tenait des propos apaisants : « Il faut éviter de se diviser. Il faut se souvenir de nos morts avant et après le 19 Mars. Le 5 Décembre était une date qui aurait pu sastifaire tout le monde. Mais il en est ainsi. C’est à vous de choisir. Il faut aller dans le sens du rassemblement plutôt que de la division » en demandant « d’arrêter les querelles de chapelle 47 ans après. IL faut œuvrer pour le rassemblement et le consensus ». Isabelle Debré, Sénateur et 1ére adjointe reconnaissait que « cela pose un problème pour les élus. Et que cela n’a rien à voir avec un clivage gauche/droite. Le 5 décembre est une date officielle. Que ceux qui veulent célébrer le cessez le feu le 19 Mars le fassent » a-t-elle expliqué en indiquant qu’elle se déplace à titre officiel le 5 Décembre et à titre amical le 19 Mars. Elle souhaite, comme beaucoup d’autres, et notamment Laurent Lacomére, maire adjoint qui l’a déjà dit, que « l’on arrrive en France à instituer un mémorial Day » pour célébrer et se souvenir des morts de toutes les guerres.

  • VANVES A L'HEURE DES BILANS

    INTERVIEW DE GUY JANVIER,  

     

    CONSEILLER GENERAL DE VANVES

     

    (Suite et fin)

     

    Vanves Au Quotidien termine son interview avec Guy Janvier en abordant les thémes du Grand Paris et le Conseil Général qui doit voter son budget 2009 le 27 Mars prochain. Il dfevrait bientôt organiser une réunion bilan sur son activité au conseil Général où il intervient beaucoup sur le budget, les questions social – pas de 200 pages d’interventions a-t-il recené – et il a fait avancer certains dossiers comme  la prise en compte des revenus des familles dans les cantines scolaires.

     

    Guy Janvier : « Je suis un rocardien,

     

    donc un réformiste éclairé ! » 

     

    VAQ – Comment réagissez-vous aux propositions du Comité Balladur ? 

    G.J. : « C’est un sujet qui me passionne parce que je suis, par ailleurs, fonctionnaire de l’Etat. Et la réforme qu’il faut absolument faire, c’est celle des collectivités locales, parce que nous avons un empilement depuis les lois de Décentralisation Defferre 1983, avec la création des communautés de pays, de communes, d’agglomérations, sans pour autant réfléchir sur les compétences des uns et des autres. Résultats : Tout le monde fait et n’importe quoi aujourd’hui. Avec des doublons partout. C’est une complexité totale, car tout le monde finance. L’Etat demande aux collectivités de financer des choses qu’il ne peut pas faire et qu’il devrait faire… Cette réforme territoriale est absolument indispensable. Nous en parlons depuis des années,  souvenez-vous du rapport Guichard dans les années 70, de la Commission Mauroy, du rapport Attali.

    Ayant regardé cela de très prés, la conclusion que j’en tire, est de distinguer ce qui relève de la stratégie et des politiques de proximité. Pour la stratégie, elle peut être faîte par l’Europe (problèmes d’immigrations, la crise…), l’ Etat, et la région qui a une capacité suffisamment grande pour être stratége en matière d’économie, d’universités, de formations. Et l’on peut rapprocher les régions, de manière à arriver à 8 ou 10 régions, et pas sous une forme volontaire, mais obligatoire. D’ailleurs les circonscriptions des élections européennes sont intéressantes (8). Pour les politiques de proximité, le département, les communautés d’agglomérations, les communes. La seule chose qui cloche est le  nombre de communes – 36 000 – en France. On est attaché certes à la commune, mais il faut les regrouper, et c’est le cas avec les communautés de pays et d’agglomérations.  90% de la population française vivent dans une telle communauté, même dans les Hauts de Seine. Et on peut s’en servir pour leur confier des compétences communales sans supprimer les communes à condition qu’elles soient élues démocratiquement, et en veillant à ce qu’elles ne soient pas uniquement bâties sur des critères uniquement politiques ou de richesses.

     

    VAQ – Et sur la fusion des 4 départements de l’agglomération parisienne ?

    G.J. : « Cette proposition est une erreur totale. Il n’y a pas les deux aéroports, ni Orsay, ni les villes nouvelles. Il faut une réflexion qui soit d’intérêt général, et pas politicienne. Et cela vaut pour la gauche comme pour la droite. J’entends à gauche des discours conservateurs – « on ne touche à rien, tout va bien » - alors qu’il faut faire cette réforme dans l’intérêt général avec le souci de la cohésion sociale, de la justice sociale. J’en ai assez d’entendre dire, la gauche et la droite, c’est pareil. Ce n’est pas vrai ! Mais sur un certain nombre de sujets, les clivages ne sont pas entre la droite et la gauche. Et je revendique d’être, depuis toujours, un rocardien, c'est-à-dire un réformiste éclairé.

    La démarche de Bertrand Delanoë qu’a d’ailleurs partagé Bernard Gauducheau, est la bonne. On réfléchit sur l’avenir du Grand Paris. Et c’est la Conférence Métropolitaine qui va au-delà. Et ce n’est pas contre JP Huchon ou la Région. C’est voir ensemble ce qui est le mieux. Notamment sur les transports en commun, sur des logements accessibles.

     

    VAQ – Comment jugez-vous l’ambiance au Conseil Général depuis que Patrick Devedjian est ministre de la Relance ?

    G.J. : «  Tout cela est à fleuret-moucheté ! Il a remballé son épée de Damoclés. Son discours a totalement changé. Lui qui voulait nettoyer les écuries d’Augas, faire avancer les choses, mettre de l’ordre, se consacre surtout à la Relance, tout comme l’a fait Nicolas Sarkozy à l’intérieur lorsqu’il présidait le Conseil Général des Hauts de Seine. L’ambiance est apparemment plus feutrée, car je crois comprendre que les choses ne sont pas aussi simple que cela. Il y a un modus vivendi pour l’instant. Et on a mis un peu les couteaux sous le tapis

     

    VAQ – Quelles sont les questions sur lesquelles vous interviendrez lors du débat budgétaire le 27 Mars au Conseil Général ?

    G.J. : « Principalement sur les questions sociales : Je poserais la question de la mise en place du RSA, car à partir du 1er Juillet 2009, les départements en ont la responsabilité. Quel budget, quels moyens  va-t-on mettre ? Nous allons passer de 25 000 allocataires du RMI à 57 000 allocataires potentiels du RSA. Est-ce que les moyens vont suivre en matière d’accompagnement, puisque l’idée est de faire un retour à l’emploi, ce qui est bon, mais je crains que l’on risque de précariser un petit peu plus ces emplois aidés etc… que la droite avait fustigée et qu’elle remet au goût du jour.  

    Et sur les questions d’éducation : je ferai des comparaisons entre le budget « éducation » du 92 et d’autres départements. Je souhaiterais que l’on mette le paquet sur les collèges, c'est-à-dire des 6éme aux 3éme, c'est-à-dire 11-15/16 ans, l’âge où ses jeunes décrochent de la scolarité en 3éme.   

     

    VAQ – Beaucoup d’actions avaient été lancées par C.Pasqua comme les Etudes dirigées ? Premis ?

    G.J. : « Les Etudes Dirigées ont été repris par l’Etat, mais le Conseil Général a accepté de continuer à les financer puisqu’elles ne l’étaient pas suffisamment par l’éducation nationale. Il faut que cela se poursuive, mais il faut pratiquement un accompagnement individuel avec des enfants qui sont en grande difficulté…

    Ce qui est important, ce sont les moyens mis à disposition des collèges en matière d’accompagnement, de médiateur éducatif, d’investissements. A Saint Exupery, je me bagarre pour obtenir un tableau numérique, refaire les fenêtres etc…L’investissement est absolument essentiel.

    Et il faut mettre en place des objectifs de résultats, pour savoir ce que l’on a fait pour que les enfants en difficulté en 6éme, ne soient pas d’une manière accentuée en 3éme. Bien sûr que l’éducation nationale est responsable, mais comme aujourd’hui les départements ont la responsabilité des moyens de fonctionnement des collèges, on peut agir.

  • AU FIL DES JOURS A VANVES

    MICHELET : LA CHARTE

     

    DE LYCEENS ECO-RESPONSABLES  

     

    Hier matin, dans tous les classes du lycée Michelet, une charte de l’éco-citoyen a été lu par l’un des deux délégués de classe qui ont, ensuite, fait signer une feuille verte à chacun  de leur camarade. Ces feuilles seront conservées dans les archives du Lycée avec la copie originale de la charte « pour montrer qu’en 2009, les éléves s’étaient mobilisés » a expliqué la veille Patrick Sorin, proviseur, devant l’ensemble des délégués de classes réunis au théâtre du lycée. Il a rappellé comment elle avait été rédigée, deux délégués de seconde l’ont lu, et 4 l’ont signé avec lui en présence de quelques représentants du Conseil d’administration du lycée,  de l’Inspection d’Académie et des associations qui participent à cette quinzaine du développement durable ( Le Panier Vanvéen et la Ruche).

    Cette charte rappelle « quelques gestes simples et sains pour fonder un avenir commun et plus serein » :

    « Dans la cité scolaire et au quotidien : la marche à pied, c’est moins C02 dégagé / Plus de piles apportées au B.V.S. et la pollution baisse / Portes et fenêtres fermées pour une chaleur préservée / La lumière allumée n’est pas une nécessité/ Les robinets clos, c’est une économie d’eau / Les douches qui durent longtemps nuisent à l’environnement / Les déchets triés dans les poubelles adaptées seront recyclés / Les mégits dans les cendriers, c’est ça la propreté 

    Au CDI : Nos cartouches récoltées ici auront une nouvelle vie / Moins de photocopies pour plus d’économies / Pas d’erreurs d’impression, moins de déforestation / Nos livres protégés et la natuere est préservée

    En cours :  Du papier recyclé et des arbres sont sauvés / Les rideaux ouverts et la salle est plus claire / Les appareols éteints, afin de consommer moins / Les tables respectées et moins de nettoyants utilisés

    A la  cantine : Une serviette en papier, c’est largement assez / L’eau débordant des brocs, ce n’est pas très écolo…/ Le tri des déchets organiques pour moins d‘engrais chimiques.

    Ces gestes à Michelet, rendront l’avenir plus doux / Ces gestes à Michelet, rendront l’avenir meilleur »

     

    DANS LE CREUX DE L’OREILLE

     

    PME : Isabelle Debré qui co-préside avec Lionel Tardy, député de Haute Savoie,  l’Amicale parlementaire des PME, créée par la Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises pour permettre un dialogue direct entre dirigeants de PME et parlementaires,  organise aujourd’hui une réunion à l’Assemblée Nationale pour réfléchir sur les moyens d’aider les PME à surmonter la crise économique. Financement, marchés publics, innovation seront les principaux thèmes abordés avec les experts invités et des dirigeants de PME

     

    EROTISME : Les habitants du quartier de la gare se sont bien amusés ses quinze derniers jours. Une affiche  annoncait sur un panneau publicitaire placé tout à côté de la salle Panopée, le salon de l’érotisme, donnant vraiment l’impression, que c’était là qu’il se déroulait. « Après ce que l’on a vu au théâtre ces derniers temps, on n’aurait pas été surpris, mais sur le coup, cela faisait tout drôle ! » raconte une rivraine… de la salle Panopée.