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  • TEMPS DE CONVIALITE DANS UNE PAROISSE CENTENAIRE, SAINT FRANCOIS D’ASSISE DE VANVES

    Un temps de convivialités est prévue à la paroisse Saint François aujourd’hui après les messes de 10H et 18H avec un apéritif dans les jardins de Saint François pour se retrouver dans le respect des normes sanitaires, à défaut de la kermesse de printemps qui n’aura pas lieu comme l’année dernière à cause de l’épidémie. Et même de la célébration d’un anniversaire comme en avait fait état le blog le 21 Avril dernier : les cent ans de cette paroisse confiée à l’abbé Mortier dont la chapelle, à l’époque, avait été bénite le 13 Mars 1921 par le Cardinal Dubois,  dont certains habitants du Plateau se souviennent (de la chapelle bien sûr).  

    Mis peu se souviennent de cette chapelle en brique construite par l’architecte Charles Venner à l’emplacement des jardins actuels de l’église, qui avait  dû être détruite au milieu des années 80 car elle menaçait de s’effondrer, des pierres tombant sur les paroissiens. Elle a été  remplacé par l’église actuelle avec son pavillon pour le foyer d’accueil, inaugurée et bénie en 1986 par Mgr Favreau, alors Evêque du diocése des Hauts de Seine

    «Cette église Saint François a une double histoire propre : l’histoire de la présence chrétienne sur le Plateau de Vanves qui n’était pas construit, ni loti, ressemblant à la Zone. Je me souviens de grands parents à qui ont avait dit lorsqu’ils se rendaient de Paris à Clamart à bicyclette, « quand vous traversez le Plateau de Vanves, vous ne vous arrêtez pas ! » parce que c’était une terre habité par des zonars » confie Bertrand Auville curé de Vanves. Un ouvrage consacré aux 85 ans de la paroisse à l’occasion des 20 ans de la nouvelle église, écrite par ses paroissiens rappelle toute cette période, «avec le pére Mortier, un personnage, le patronage et les colonies de vacances qui ont laissé pour les jeunes de cette époque un souvenirs aussi fort de la Féclaz pour ceux qui ont suivi, pour essayer d’encadrer cette jeunesse et éviter qu’elle ne parte à la dérive, la pastorale ouvriére et populaire, avec des secours. C’était vraiment quelque chose de spécifique».

    Le pére Auville ne cache pas «qu’on a un projet de travaux de rénovation et de réfection, après avoir ériger cette statue de St François qui se veut  un signe dans ce quarter, une figure universelle qui parle à tout le monde, même à ceux qui n’entre pas dans l’église». Ce projet concernerait surtout cette entrée, dénommé le Narthex, qui est devenue vieillot. «On souhaiterait qu’il devienne un  lieu d’accueil, qu’on puisse y trouver des informations, quelqu’un qui les recoive et pas ce bureau un peu confiné au fond. Et  on voudrait éclairer ce lieu »