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AH LES JOLIES COLONIES DE VACANCES DE VANVES A SAINT-GILLES-CROIX-DE-VIE

C’est vraiment les vacances ! Les vanvéens sont partis et cela se voit dans les rues, le marché, le parc F.Pic, le PMS A.Roche en travaux... Les premiers séjours organisés par la ville partent aujourd’hui comme c’est le cas pour la Féclaz avec les 5/9 ans. L’un des deux sites encore ouvert qui a accueillit des générations de vanvéens dans les colonies de vacances organisées par la ville, avec  Saint-Gilles-Croix-de-vie (Vendée) entre 1946 et 1980. La ville de Vanves, par l’entremise de Bernard Roche, a lancée un appel afin de rassembler des photos, des souvenirs pour une soirée à l’automne consacrée à ce centre de vacances. Et dans les échanges avec les vanvéens d’une certaine génération,Saint-Gilles-Croix-de-vie suscite tout de suite des réactions, des souvenirs, des anedoctes 

Cette propriété dite de la Roche Trouée, était située sur un terrain de 1 ha, au bord d’une falaise, le long de la route de la corniche, avec un petit chemin qui descendait vers la plage, de l’autre côté de la route où il y avait un autre terrain. La ville deVanves l’avait achetée en 1946 pour 2,2 M€ alors que  la commune était dirigée par Albert Pellegeay. Il s’était impliqué personnellement dans cet achat lorsqu’il avait appris que le château de Chillou dans le département de la Vienne, n’était plus disponible pour accueillir les colonies de vacances comme ce fut le cas en 1945. Elle était constituée de 3 maisons, l’une pour la direction dans le style « mairie début du siécle », avec l’infirmerie, quelques chambres pour les accompagnateurs, deux autres avec les dortoirs pour les colons composés de lits superposés en fer, des chambres pour les moniteurs, style « école » de deux étages avec des grillages aux fenêtres du second. L’un de ses deux bâtiments accueillait les réfectoires, l’un pour les enfants, l’autre pour la direction, avec la cuisine et une salle de récréation. Au fil des années, s’est ajouté un baraquement en bois en 1949  à usage de dortoir, et un pré-fabriqué à côté du terrrain de football…

Cette propriété de la ville pouvait recevoir jusqu’à 260 enfants de 5 à 15 ans, encadrés par un directeur, toujours un instituteur,  dont l’inévitable monsieur Martin de l’école du Parc, et 25 Moniteurs. Et les souvenirs reviennent vite chez ses vanvéens qui l’ont fréquenté, intarrisable comme Frank qui y a séjourné 2 ou 3 fois notamment lors de la grande sécheresse de 1976  pendant 3 semaines en Juillet durant lesquelles la propriété de Vanves avait connu une invasion de cocinelles : « Nous avions de nombreuses activités, escrime, judo, vélo, canoè-kayak….Mais surtout ce qui nous plaisait, plus d’une semaine en camping où nous avions un sentiment de plus grand liberté ! Mais on détestait les corvées de patates ! » se souvient il. Une autre participante n’a pas du tout le même avis, parlant « d’une ambiance très stricte et peu chaleureuse » en n’ayant gardé aucun souvenirs plaisants. Comme quoi, les avis sont partagés

 

La ville de Vanves a dû s’en séparer, en 1986, à un moment où une nouvelle législation concxerenant les baîements accueillant des jeunes se renforçait. La DDJS (Direction Dépattementale de la Jeunesse et des Sports) de Vendée signifait le 14 Janvier 1985 de ne plus ouvrir cette coloniet ant que des travaux signifixatifs n’étaoent pas entrepris ; Ils auraient entraînés des dépenses très élevées pour la ville, hors deproiportion avec ses ressources. D’autant plus que Vanvespossédait le chalet dela Féclaz où elle a entrepris des travaux très important de remlise auxnormes entre 1985 et 1987. La ville l’a vendue au promoteur Merlin pour 8,5 M€, c'est-à-dire le double de la valeur estimée par les notaires, en faisant unre très bonne affaire, commel’a expliqué Gérard Orillard maire deVances, avec son langage fleuri face à son opposant socialiste Raymond Deniau : « M.Merlin fait des affairesjuteuses. Mais si la mairie de Vanves peut vendre son terrain 2 fois la valeur estimée par le notaire, je considére quel’affaire est juteuse pour Vanves »   

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