CHARLIE HEBDO : Les marchands de journaux de Vanves ont croûlé sous la demande Mercredi matin, alors qu’ils ne disposaient que de très peu dexemplairesde Charlie Hebdo par rapport à leurs confréres parisiens. « Jamais je n’ai vu cela de ma vie, même les jours de rentrée scolaire. Je pense que je m’en souviendrais toute ma vie » raconte Daniel Suire qui vend des journaux depuis plus de 30 ans dans sa boutique de l’avenue Victor Hugo à côté du terminus du bus 58. Sa boutique n’a pas désemplie de la matinée, dés 7H lorsqu’il a ouvert. Il n’avait pas moins de 20 personnes qui faisaient la queue dans boutique jusqu’à midi, , désolé à chaque fois de dire qu’il n’avait plus d’exemplaire et qu’il fallait revenir les jours suivants. Certains clients étaient impatients, bousculant ceux qui sortaient en maugréant. D’autres se faisaient une raison. Mais le lendemain, jeudi matin, à 6H15, les premiers clients frappaient à la porte de la boutique alors qu'il met en place tranquillement les journaux et les magazines jusqu'à 7H où il ouvre habituellement. "J'ai dû ouvrir, car je n'allais pas les laisser attendre dans le froid et sous la pluie. A 7H15, les 50 exemplaires dee Charlie Hebdo étaient vendus"
POLICE MUNICIPALE : Le Blog de Vanves Au Quotidien n’est pas le seul à faire des coquilles…sur les prénoms Celle du Parisien d’hier qui consacrait sa « une » des pages Hauts de seine sur « Pas de ruée sur les révolvers dans les polices municipales » indiquait que « pour Christian Gauducheau, premier magistrat (UDI) de Vanves dont les agents sont équipés de flashs balls, « la question se pose » mais »il convient de nr pas réagir à chaud » Le Parisien, dans cet article, constatait « qu’en dépit de la mort de Clarissa Jean Philippe – assassinée à Montrouge – et de l’appel des syndicats, la majorité des élus rechignent à armer davantage leurs agents ».