Petit clin d’œil pour ce dernier week-end de vacances avant la reprise et la rentrée scolaire. Voilà un petit texte écrit à la manière de « Pierre Perret » sur la Féclaz, le chalet de la ville en Savoie dans le domaine des Bauges au desssus de Chambery et d’Aix les Bains. Il est paru dans Vanves Infos voilà une vingtaine d’années mais il reste malgré tout d’actualité, même si les personnes citées ont pris de la graîne ou sont partis à la retraite, et que de nouvelles activités sont organisées maintenant. Mais ce lieu de vacances, de colonie et de classes externées, continue de voir séjourner des générations d’enfants vanvéens, comme l’a bien montré le blog du maire Bernard Gauducheau en relayant cet été, les activités et excursions organisés au col du Sire et dans ses environs.
Refrain : « Les jolies colonies de vacances
à la Féclaz, à la Féclaz
Tous les ans, je voudraisd qu’on r’commence
Au col du Sire, au col du Sire
Je vous donne un p’tit de grelot, cela nous change de Vanves
Ici, on est assez cool, entre Fred, Miloud et les autres monos
Je m’étrangle à cause des choux à la créme de dam’Tournache
Mais on s’explose quand même au foot sur la prairie d’en face
Pour nous amuser, on est servi entre le camping et les randos
Le dirol se prend pour Bébel avec sa spéléo, son VTT et ses poneys
Les monos sont plutôt drôles surtout lorsqu’ils sont des anciens colons
Ils nous secouent un petit peu. Même si on râle, on est content
Quant aux poetes, il y a deux bandes : les bourges et les beaufs
Les uns au look Fluo, les autres au look populo
Le terrain de foot et la piste de danse sont leur terrain neutre
Quand il s’agit de mettre la pâtée aux enfants de Puteaux
Cette année, on a été gâté. Ils nous ot fait découvrir la CB
On a pu se tremper dans une piscine et coucher sous la tente
Des veillées, on en a eu des tas, des plus classiques au plus louffoques
Et même un soir, on a remplacé au pied levé les monos
De 6 à 14 ans, dans notre jolie colonioe du Col du Sire
Nous avons pu découvrir la vie en collectovité
C’est vrai que ce ne fut pas une sinécure pour nos monos
Mais une chose est sûre : on repart avec eux à la Féclaz. .