LE STATIONNEMENT PAYANT
ETALE A TOUTE LA COMMUNE
Tel est l’objectif de la municipalité réélue en Mars 2008, afin d’organiser le partage de la rue et à donner la priorité aux vanvéens. La concertation a commencée pour sa mise en place. Certains membres de Conseil de Quartier ont participé à des comptages et des recensements effectués rues par rues certains soirs, notamment dans les Hauts de Vanves dont le président Barrois a dressé un constat dans un courrier adressé au Maire récemment après ses permanences mensuelles dans la salle Latapie : La situation n’est pas bonne et se dégrade notamment dans les zones de stationnement gratuite environnée de zones de stationnement payant. Trop de voitures ventouses qui stationnent sur des périodes de temps de plusieurs semaines, problèmes des voitures étrangtéres au quartier et beaucoup de voitures immatriculées lors département (dont 93, 94, 75, 60…) qui stationnent à demeure depuis plusieurs mois, occupation abusive des espaces « bateau » qui devrait permettre uniquement d’avoir un accés à un garage intérieur et non de s’octroyuer à demeure un espace du trottoir devant son domicile. « Beaucoup de bateaux ne sont plus accompagnés d’un panneau d’interdiction de stationnement devant un portail, non justifié, alors qu’il n’y a plus de garage possible à l’intérieur du bâtiment »… Enfin insufisance du nombre d’aires de parking public et privé, puisque plusieurs nouvelles constructions multi-propriétés n’ont pas prévu assez de places de parkings en sous-sol des immeubles. Sans oublier que de nombreux vanvéens qui disposent de places de parkings ne l’utilisent pas, préférant, par facilité, à se garer dans la rue. Il suffisait de se promener lorsqu’il a fait si froid en ce début d’année, car l’on pouvait se garer dans certaines rues où c’est impossible, car justement ses véhicules avaient retrouvés leur emplacement de parkings.
Laurent Lacomére, Maire adjoint, a présenté, hier soir, devant le Comité Consultatif Sécurité-Circulation-stationnement, les premières études de la ville qui vise à étendre le stationnement payant (zone Orange) dans toutes les rues de la commune où le stationnement n’est pas encore payant. « Il y aura au moins plus d’égalité entre les vanvéens ». Ce qui impliquera de passer de 40 horodateurs (qui rapportent 183 000 € de recettes) à 135. Le GEV a réagit en demandant de passer à la zone rouge tout de suite notamment dans certaines rues du quartier du Centre Ancien Saint Remy afin de faciliter le stationnement des clients des commerçants (dont aucun de ce quartier ne s’est déplacés à la réunion). Laurent Lacomére a indiqué que la ville réfléchit à une limitation des aires de livraison et leur remplacement des « déposes minutes » ou à des arrêts limités à 10 mm. Et il s’est élevé contre les rumeurs selon lesqelles certaines contaventions « sauteraient » : « Il n’y a aucune indulgence ! ». Il parait que les deux ASVP font 190 000 € de recettes pour défaut de stationnement payant.
UN CORPS DE SERVICE D’URGENCE
Le projet présenté par la Croix Rouge est « de fédérer le cœur des vanvéens en situation de crise » selon son président, M.Gallois. « Mieux on est préparé à l’urgence, mieux on saura réagir ». Tel est le credo de la Croix Rouge. Il explique « que quoditiennement, nous sommes soumis à plusieurs risques dans une ville comme Vanves. Des plans secours sont prêts (Canicule, Grands Froids etc…). Mais les moyens officiels ne suffisent pas quelquefois alors que des bénévoles sont prêt à aider mais dont l’encadrement est difficile. L’idée est de disposer d’une réserve opérationnelle identifiée qui sera informé et formé pour réagir à telle ou telle situation. Ses missions ne se substitueront pas à celles des services publics. Mais plutôt à contribuer et à participer au soutien et à l’assistance des populations, en se focalisant sur les personnes les plus fragiles, en les recensant, en allant à leur rencontre surtout lorsqu’on est sans nouvelle d’elles et dont on ne sait comment elles vivent et traversent les événements (canicule, grands froids, crise épidémique…)afin de les aider à faire les bons gestes etc… ». L’objectif est ainsi d’être à la disposition de la Croix Rouge sous l’égide et la responsabilité de la commune. Les conditions pour en faire partie est tout d’abord d’être bénévole, puis de suivre une formation initiale et continue. En sachant qu’il existe déjà au sein de la Croix Rouge. Son objectif est de compléter les équipes de réservistes.