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le rosier rouge

  • COMMENT A VANVES VIT ON CE CONFINEMENT HISTORIQUE… : AU SECOURS CATHOLIQUE, L’ACTION CONTINUE DIFFEREMMENT MEME CONFINE

    Dans de contexte de confinement et d’état d’urgence sanitaire, l’action des associations caritatives, solidaires et humanitaires sont devenus difficiles, et les maires lancent des initiatives comme des plateformes, des réseaux de citoyens solidaires pour venir en aides aux personnes isolées, vulnérables, en dehors de ce font les communes avec leurs services (CCAS, espace Solidarité, Espaces seniors) comme c’est le cas pour Vanves qui a constitué un réseau de solidarité municipale qui regroupe plus de 80 vanvéens, mais où des initiatives privés sont prises dans un immeuble, dans une rue, grâce à des  voisins solidaires pour prendre des nouvelles, faire des courses etc….

    Ainsi l’action d’associations comme le Secours Catholique n’est pas facile, puisqu’ à Vanves puisque ses dirigeants bénévoles réunis au sein d’un comité de Coordination depuis le départ d’André Giard, travaillent beaucoup pas mail. «Pour respecter les mesures de confinement nous avons dù suspendre nos accueils et notamment la permanence du mardi matin pour l'aide alimentaire qui reçoit, en moyenne, une vingtaine de familles, notamment des migrants hébergés par le 115 à l'hôtel La Terrasse. Ce sont des familles avec peu de moyens financiers ou même pas du tout, la plupart non régularisés. Pour eux nous mettons en place, avec notre délégation à Asnières une aide d'urgence sous forme de «chèque-service» pouvant être utilisés dans les magasins d'alimentations, y/c du lait bébé et des couches » indique Gérard Popot l’un de ses membres. D’ailleurs, le Secours Catholique national a lancé un appel pour lever des des dons pour financer ces aides exceptionnelles.

    «Avec le CCAS nous avons participé à la remise de paniers alimentaires de secours d'urgence à 19 familles hébergées à La Terrasse, grâce au stock de produits alimentaires collectés avec la Banque Alimentaire. que gère le Secours Catholique. D'autres aides se mettent en place petit à petit pour ces prochaines semaines de confinement, par le CCAS, par le 115 (DRIHL), c'est un peu long à mettre en place !  Nous collaborons autant que possible avec le CCAS, par exemple  avec la remise de listes de familles, leur composition et besoins particuliers: lait pour bébés et couches..... »indique t-il

    Du côté du Rosier Rouge, géré par le Secours Catholique, ses dirigeants, raison du Coronavirus, ont dû prendre la décision d’annuler toutes les réservations jusqu’au 15 avril avec une probable reconduction. «Nous ne prenons plus de réservations. Nous vous tiendrons au courant de la réouverture des réservations» indiquent ils

  • PORTRAITS DE CAMPAGNE DE CO-LISTIERS ET DE SUPPORTERS – PHILIPPE DOS SANTOS : « Deux mandats, c’est bien, trois mandats, c’est peut être trop !

    Dans le cadre des élections municipales de Mars 2014 de nouveaux visages apparaissent dans le paysage politique vanvéen, qu’ils soient ou non candidat sur une liste : C’est l’occasion de les rencontrer, de les interroger sur leurs motivations à être élu sur une liste, et à vouloir servir les vanvéens, ou à soutenir l’une des 4 têtes de listes qui seront présentes à cette élection. Bien sûr  lorsque c’est possible, car il n’y a, de la part, de ce blog, aucune exclusive, alors que d’autres préfèrent s’en réserver la primeur par tactique électorale. Nous avions commencé avec le portrait de Jeremy Coste (UDI) directeur de campagne de la liste UDI/UMP et co-listier de B.Gauducheau (UDI), Gabriel Attal (PS) conseiller parlementaire de la ministre Marysol Touraine et co-listier d’Antonio Dos Santos. Nous continuons avec Philippe Dos Santos, assistant dans un cabinet d’avocat, très présent auprès de son père depuis le début de la campagne. Il sera sûrement à l’école maternelle Lemel ce soir (à 19H30) pour la première réunion publique de proximité de la tête de liste PS

    Vanves Au Quotidien - Que ressent on lorsqu’on voit l’un de ses proches, s’engager dans l’action politique, et là plus particulièrement son père dans la bataille des municipales ?

    Philippe Dos Santos : « Quand on voit que c’est au niveau municipal, cela fait plaisir  dans une ville que l’on aime, parce  qu’il  s’intéresse à sa ville qu’il aime, qu’il veut s’y investir. Au niveau municipal, c’est plus proche, plus agréable. A un plus haut niveau, je n’aurais pas apprécié

    VAQ - En a-t-il discuté avec vous et en famille avant d’y aller ?

    P.D.S. : « Oui ! Au début lorsqu’il est arrivé au PS, en 2008, en  tant que militant, puis  petit à petit, il s’est investit, en disant « peut être que ! », « on y pense ! ». Personne ne l’a stoppé, ni moi, ni mon frére, ni ma mére. Au contraire. Et moi, le premier ! Je lui au dit « va y ! » 

    VAQ- Pourquoi vous êtes vous engagé dans la campagne ? Déjà militant PS ?

    P.D.S. : « Pas trop ! J’ai commencé, moi aussi, en 2008, sur le terrain. J’y allais de temps en temps. Lorsque Guy Janvier est venu chercher mon père pour l’aider, je n’étais pas trop politisé. Je me suis intéressé, du fait que mon père y aille, surtout au moment de l’élection municipale de 2008. Et nous avons participé à toutes les batailles  

    VAQ - Comment ressentez-vous les critiques ou les attaques (politiques) dont est l’objet votre pére ?

    P.D.S. : « Lorsqu’elles sont intelligentes, on s’y fait. Et il y en aura toujours. Quand elles ne sont pas bien fines, on les prend mal !

    VAQ - Surtout lorsqu’on dit « tiens voilà le faux socialiste » ?

    P.D.S. : « « Faux socialiste ! », « parachuté ! ». On en  rigole. C’est un peu ridicule. Une attaque basse. Je ne dis pas que les attaques doivent être vraies !  Mais là ! Peut être qu’en face, il y a une peur d’eux, donc ils attaquent !

    VAQ - Surtout lorsque l’on dit qu’il a vécu aux frais de la princesse au Rosier Rouge ?

    P.D.S. : « Ces gens là ne savent pas ! Ils déforment ! Comme cela m’est arrivé devant intermarché où mon interlocuteur, après l’avoir éclairé,  m’a dit « ah bon, merci de me l’avoir dit, je ne pensais pas ! ». Il a été directeur du Rosier Rouge pendant 11 ans, l’a complétement transformé au niveau de l’accueil, de la grande salle de séjour en la rendant plus conviviale où on descendait souvent pour partager des moments de fête avec les résidents, Noël, la Chandeleur, le méchoui pour la fête du Rosier Rouge en Juin etc…  Et ce parc immense, totalement sauvage que j’ai découvert, en arrivant à l’âge de 9 ans, et qu’il a transformé, pour le rendre accueillant.

    VAQ - Quel est le Vanves qui vous connaissez et que vous apprécié ?

    P.D.S. : « Tout le quartier Saint Remy, car j’y ai vécu. J’ai fait mes études à l’école du Parc en CM1 et CM2, puis à Issy les Moulineaux  à Pierre de Luxembourg au collége, et à Paris pour le lycée, ce qui m’a un peu coupé de Vanves, bien malgré moi. C’est un petit village que j’adore, proche de Paris, avec des lieux conviviaux comme le Tout Va Mieux

    VAQ - Et que vous détesté ?

    P.D.S. : « Il n’y en a pas ! Même si je ne mets pas les pieds au Plateau. J’aime Vanves tout court

    VAQ- Pensez-vous que Vanves soit une ville « bizonours » ? 

    P.D.S. : « Non ! je ne trouve pas !

    VAQ - Bobo ?

    P.D.S. : « Ah  non ! Vanves n’est pas bobo ! Il y en a ! Comme dans toutes les villes ! Mais cela commence. Beaucoup de parisiens viennent s’installer à Vanves ! Cela coûte moins cher ! C’est un petit village ! C’est prés de Paris

    VAQ- Qu’est-ce qui pourrait les inciter à voter à gauche ?

    P.D.S. : « Un nouveau souffle ! Le changement ! Notre cher maire est là depuis assez de temps ! Il faut un petit changement. Il a fait de bonnes choses. Je ne dis pas que c’est un mauvais maire. Deux mandats, c’est bien, trois mandats, c’est peut être trop !

    VAQ - Et si votre pére devient maire ?

    P.D.S. : « Ce serait beau ! On le souhaite tous ! Il y aura du changement ! Ce serait Vanves plus uni ! En tous on ferait autre chose et différemment. Et il y a à faire ! Notamment pour les jeunes où il n’y a rien !