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classe préparatoire

  • PORTRAITS DE CAMPAGNE MUNICIPALE A VANVES : GUILLEM GERVILLA : « Vanves n’a pas la vocation à être la niche de M.Santini ! »

    Dans le cadre des élections municipales de Mars 2014 de nouveaux visages apparaissent dans le paysage politique vanvéen, qu’ils soient ou non candidat sur une liste : C’est l’occasion de les rencontrer, de les interroger sur leurs motivations à être élu sur une liste, et à vouloir servir les vanvéens, ou à soutenir l’une des 4 têtes de listes qui seront présentes à cette élection. Bien sûr  lorsque c’est possible, car il n’y a, de la part, de ce blog, aucune exclusive, alors que d’autres préfèrent s’en réserver la primeur par tactique électorale. Vanves Au Quotidien s’est intéressé à Guillem Gervilla, jeune étudiant de 20 ans en classe préparatoire en Maths Sup  au lycée Charlemagne, un an après Michelet qu’il avait choisi alors qu’il a fait toutes études et vécut  à Toulouse après être né à Barcelone : « Lorsque j’ai mes demandes de prépa, j’avoue que le lycée Michelet m’avait plu, notamment parce qu’il était prêt de Paris, relativement compétitif.  Je n’ai pas été interne dés la première année, alors que je venais de loin (700 km). Mais j’ai réussi à décrocher  l’internat en deuxième année parce que j’ai une mention « A » en 1étre année. C’est un très beau et bon  lycée parce que nous avons une équipe pédagogique très compétente, et surtout un proviseur remarquable, Patrick Sorin avec lequel j’ai eu l’occasion de discuter plusieurs fois en tête à tête. Il m’a soutenu pour des prises d’engagements citoyens, parce que c’est le rôle d’un proviseur d’encourager ses élèves à s’engager dans la vie citoyenne. Mais j’ai été marqué par son discours devant les élèves de la promotion alors qu’il les reçoit tous à la Rentrée, hypokagne, ECT, ECS… où il expliquait qu’effectivement, le lycée Michelet n’était pas au niveau de Louis le Grand et Henri IV, mais ce n’était pas  ce qu’il recherchait ? C’est à dire qu’il  recherchait des jeunes qui ne s’étaient pas donné les moyens d’exploiter toutes leurs potentialités, et que c’était le rôle de Michelet de faire en sorte qu’ils se réalisent. Cela m’a parlé tout de suite, je me suis senti concerné » explique ce jeune étudiant qui vit maintenant dans son appartement à Vanves et vise Central Paris ou Polytechnique.

    Vanves Au Quotidien - Qu’est-ce qui a décidé… à vous engager sur une liste aux municipales ?

    Guillem Gervilla : « Mon engagement sur la liste découle de mon engagement au PS, lors des élections présidentielles de 2012 après les primaires que F.Hollande a remporté face à Martine Aubry. J’ai ressenti le besoin de m’engager parce que j’avais senti la déception des gens après le quinquennat de Sarkozy, et que je n’avais pas envie que l’on reparte  avec lui. Je me suis dit qu’il y avait une alternative crédible, une possibilité de rassembler que l’on n’avait pas en 2007 avec Ségoléne Royale. Là nous avions un parti regroupé. J’ai rencontré à ce moment là, Jean Cyril Le Goff qui m’a convaincu de rejoindre la section PS de Vanves qui est particulièrement intéressante. J’étais en première année de Maths Sup au lycée Michelet. On avait des examens de 4H tous les samedis matin. Je suis passé devant la Poste, il était en train de tracter, on a discuté, et je suis venu les aidé. Je n’ai pris ma carte qu’en Novembre 2012.

    VAQ - Comment vivez-vous cette campagne municipale ?

    G.G : «  Cette campagne a commencé voilà très longtemps, car j’ai participé aux différents groupes de travail qui ont été mis en place en janvier 2013 au sein du PS pour établir ce programme. C’est excitant de voir ce que cela donne, car c’est ma première campagne locale. J’ai dirigé le groupe de travail sur la santé, l’éducation, la formation, la prévention. Cela permet de mieux connaître la ville, de trouver ce qui ne va pas, de chercher à trouver ce qui peut être mieux fait, sur tel ou tel point concret, avec des solutions. Cette campagne est l’aboutissement de ce travail là, mais le plus beau reste à faire, avec cette campagne de proximité, porte à porte, réunion de proximité, au format novateur. Et c’est une première pour moi, car je découvre, ce que l’on voit dans les films hollywoodiens. Je m’occupe du site Internet avec M.Goavec.

    VAQ - Comment artive t-on à concilier prépa et campagne ?

    G.G. : « On prend le temps. Là où d’autres feraient de la natation, du foot, je fais de la politique parce que c’est quelque chose qui m’intéresse pour la ville et défendre mes idées.

    VAQ - Qu’est-ce qui vous a le plus étonné dans cette campagne jusqu’à présent ?

    G.G. : « Que l’on parle beaucoup du manque de crédibilité des politiques, de leur discrédit après les affaires. Et pourtant lorsqu’on vient parler du local, les gens nous écoutent. On voit que le maire, les élus locaux sont les gens envers qui, ils ont le plus confiance, car ce sont, effectivement, les plus proches. Et ils croient plus au changement que l’on peut leur apporter. C’est cela qui me donne plus envie de me battre.

    VAQ - Qu’est ce qui vous semble le plus important à défendre dans le projet de  votre liste ?

    G.G. : « Tout ! Si j’ai commencé à être à gauche, c’est parce que je vivais seul avec ma mère, et elle m’a toujours dit que la gauche s’intéresse aux gens qui ne sont pas dans la meilleure situation, parce qu’ils  estiment que leur voix compte tout autant. C’est pour cela que je me suis intéressé à la gauche, et je défends une gauche qui sait prendre des responsabilités, ce que cela implique de gouverner. On croit à la justice sociale, sans pour autant oublier les réalités. Quand on propose aux personnes vulnérables de les accompagner pour retirer de l’argent à la banque, pour raccompagner les élèves seuls à la sortie de l’école… Ce n’est pas une gauche qui élude les problèmes et qui va parler d’aides sociales…mais qui s’intéresse à une jeunesse à laquelle le maire ne parle pas.

    VAQ - Si vous étiez élu à la mesure, quelles seraient les 2 à 3 premières mesures prioritaires à prendre ?

    G.G. : « En terme de santé, la création d’une maison médicale ; d’emploi, le maintien de la maison de l’emploi ; de petite enfance, la garde avec des structures d’accueil. Ce programme est chiffrable et réalisable. Vanves devra s’inscrire dans le Grand Paris. En tous les cas, lorsque je lis dans le parisien un article où André Santini parle de ses collaborateurs comme des animaux, de compagnie, je crois que Vanves n'a pas vocation à être la niche de M.Santini

    Quand M. Santini pzrlede ces coléborateurs come des animaux der compazgnie dans led Parisien. Je crois que Vanves n’a pas vocationà être la niche ded M.Santini

    Quand M. Santini pzrlede ces coléborateurs come des animaux der compazgnie dans led Parisien. Je crois que Vanves n’a pas vocationà être la niche ded M.Santini

    Quand M. Santini pzrlede ces coléborateurs come des animaux der compazgnie dans led Parisien. Je crois que Vanves n’a pas vocationà être la niche ded M.Santini