Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

VANVES DESIGNE SES GRANDS ELECTEURS POUR LE SENATORIALES DE SEPTEMBRE

Vendredi dernier, comme au conseil de Paris, mais aussi dans d’autres communes franciliennes ces jours-ci, le conseil municipal de Vanves a élu ses huit délégués supplémentaires, qui viennent alimenter le cortège des grands électeurs des élections sénatoriales du 24 septembre prochain. Dans les communes de plus 9000 habitants, tous les conseillers municipaux des villes de plus de 9000 habitants sont délégués de droit. Mais elles ont droit à des délégués supplémentaires en fonction du nombre d’habitants : 8 à Vanves : Les 8 élus sont  issus de la majorité UDI/LR, aucun du groupe EELV qui a présenté une liste, aucun de Renaissance qui n’a pas présenté de liste

Occasion de dire où en sont la préparation des listes : Les LR ont tiré les leçons du scrutin de 2017, où la division les avait affaiblis en empêché d’avoir un quatriéme siége (celui d’Isabelle Debré). «On a décidé de faire, heureusement, une liste d’union contrairement à la dernière fois, où on a réussi le tour de force de faire 5 listes» rappelle Roger Karoutchi, 1er vice président du Sénat qui  compte à nouveau mener la liste officielle, suivi de deux autres sortants, Christine Lavarde, et Philippe Pemezec. La quatrième place n’est pas encore arrêtée, entre Marie-Dominique Aeschlimann, maire-adjointe d’Asnières et vice-présidente de la région et Joëlle Ceccaldi-Raynaud, maire Puteaux. Chez les centristes, Hervé Marseille conduira la liste UDI. A gauche, l’objectif est  de partir unie derrière le communiste Pierre Ouzoulias avec en seconde place  une écologiste, avec Catherine Candelier conseillére municipale de Sévres, ou une socialiste, en place éligible

La question en fait, c’est qui aura le septième siège, entre Hervé Marseille, la gauche et la liste LR.  Dans les Hauts-de-Seine, avec 2.388 grands électeurs, il faut théoriquement 341 voix pour être élu sénateur, « ce qui est haut » Mais tout dépend du nombre de listes, dans ce scrutin à la proportionnelle qui se fait au plus fort reste ; de surcroit, aux municipales deux villes sont passées à gauche, Colombes, avec un maire vert, et Chatillon, un maire PS

Les commentaires sont fermés.