Après la DSP (délégation de Service Public) confié à Sodexo depuis le début de l’année qui a remplacé Elior pour la restauration scolaire, c’est au tour de la DSP confiée à EGS (entreprise de Gestion et de Service) depuis le 25 Mai 2016, d’être renouvelé puisqu’elle arrive à échéance le 30 Novembre 2021, après avoir été prolongé de 5 mois.
La municipalité a la volonté de développer l’activité du marché comme elle l’a fait avec un espace de convivialité, la recherche de nouveaux commerçants surtout dans l’alimentaire, le remplacement des forains partant en retraite etc…. C’est pourquoi, elle a souhaité lancer une nouvelle DSP afin d’assurer la gestion de ce service public pour une durée d’un an, le temps de mener une réflexion de fonds sur son devenir jusqu’au choix de de son mode de gestion le plus adapté, en régie qui ferait peser des contraintes trop importantes, en DSP qui est préferable et permet la prise en charge totale sur son fonctionnement par un prestataire spécialisé et aguerri par ce type d’exploitation afin d’offrir aux usagers un service public de qualité exploité dans des conditions optimales de qualité, d’hygiéne et de sécurité a indiqué Christine Vlavianos, maire adjointe au commerce en parlant de réaliser un audit sur le marché. Les élus LREM ont voté ce renouvellement en souhaitant être associé à cette réflexion, et en s’inquiétant du devenir du petit marché de la rue J.Jaurés (le vendredi). Christiane Vlavianos a rassuré Jean Cyril Le Goff (LREM) en préxcisant qu’il sera inclut ainsi que les AMAP et le marché bio.
Lors du récédent conseil municipal en décembre dernier, dans le rapport d’EGES pour 2019, il était indiqué que le chiffre d’affaires pour l marché couvert reste stable avec une augmentation de 0,3% pour s’établir à 257 361 € pour les commerçants prmanents et 10 020€ pour les volants. A l’çoccasion d’une question de Séverine Edou (LREM) il avait éé précisé que le montant de la redevance rapportait à la ville 28 000 € pour le fixe, 20 000 € pour le variable, «ce qui est extrêmement faible avait-elle constatée, en notant que « cela fait moins de 200 € par jour de marché !L’intérêt de la ville, c’est de faire de réorganiser son marché, de le repenser, mais aussi de gagner ded l’argent, et ne pas avoir quelque chose qui rapporte 200 € par jour de marché ». Occasion pour le maire de Vanves de reconnaitre que «les marchés sont fragiles, tels qu’ils sont aujourd’hi. Les magessont relatuvement faibles pour les concessionnaires. Ce n’est pas un secteur d’activité qui est en voiede développement. De plus, ce sont des professsions qui ont été extrêmement fragilisées ces deriniers mois. IL faudra en effet tenir compte de tout ça et surtout avoir ue politique tarufaire mesurée. Selon la forme que l’on donnera à notre marché, selon les transformations que l’on envisagera, il faudra rester dans les équilibres et bien réfléchir pour déjà, avoir des candidats qui se présenteront. Si nos conditions et nos tarifs sont dissuasifs, on n’aura personne et pas de concessionaire»