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CARNETS DE VOYAGES AUX AMERIQUES DE STEPHANE LANCELOT, LE GLOBE TROTTER DE VANVES : PREMIERES HEURES A BUENOS AIRES

Stephane Lancelot, ancien du Lycée Michelet qui prépare un master de communication avait étudié durant 8 à 9 mois dans l’une des universités de Miami (Floride). Maitrisant parfaitement l’anglais, il est partit parfaire son espagnol en Argentine à  Buenos Aires.

« Un an après être rentré de mon incroyable expérience floridienne, me revoilà de l’autre côté de l’Atlantique, un peu plus au Sud cette fois puisque c’est à Buenos Aires, capitale de l’Argentine, que j’établis mes quartiers. Cette fois, je me remets à l’espagnol, cinq ans après mon 11/20 au bac en la matière. Après onze heures de vols, une escale à Lima et un atterrissage matinal (4h30) j’arrive sur les coups de 5h30 à l’auberge dans laquelle je séjournerai les trois semaines à venir. Malheureusement, personne ne répond à la réception. Le chauffeur qui m’a conduit de l’aéroport jusqu’ici ne me laisse pas tomber et me propose de me conduire à un McDonald’s (ouvert à 5h30, oui)  où je serai, selon lui, plus en sécurité. Après avoir commandé un café, me voilà bon pour lutter contre la fatigue et attendre jusqu’à 8h, avec mes deux valises. Pas très confortable, ni rassurant. 

Sur les coups de 8h, je quitte mon cher McDo pour retenter ma chance à l’auberge. Cette fois-ci  sera la bonne, la réception répond illico et m’accueille chaleureusement. J’investis ma chambre et me jette dans le lit. Après une petite sieste, ma mission est de trouver un endroit avec un Wi-Fi décent afin de poursuivre la finale de la Coupe de la Ligue opposant le PSG à Bastia. On appelle ça le sens des priorités, non ? Après plusieurs tests, ce sera la salle commune de l’auberge.Le soir, une amie rencontrée à Miami passe me chercher. Elle me fait une petite visite de la ville en voiture, l’occasion d’observer que les automobilistes argentins ont le sang assez chaud. Elle me fait donc découvrir « son » Buenos Aires avant de m’emmener dîner en ville. On m’avait vanté les mérites de la viande argentine et je dois dire que je n’ai pas été déçu, tendre et fondante, c’était un véritable délice. Petite particularité relevée, ici, l’accompagnement n’est pas inclus dans le prix de base et il faut donc penser à le commander.

Après une longue nuit de sommeil, j’erre un peu en ce dimanche ensoleillé dans les rues de Buenos Aires. Je passe notamment  devant l’ambassade de France et me dirige vers la « plazia de Francia » dont les pelouses sont l’hôte de plusieurs spectacles (marionnettes , concerts) et où jeunes, touristes et moins jeunes se côtoient. Au niveau de la communication, c’est compliqué pour le moment et c’est pourquoi j’ai hâte que les cours commencent ce lundi. 

Hasta luego !

A Suivre…

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