VELIB :
UNE INAUGURATION EN PEDALANT SANS LES VERTS
Certains ont fait le trajet en Vélib’ entre les stations d’Audiens et de la piscine municipale, avec Bernard Gauducheau, Isabelle Debré, Anne Hidalgo, 1ére adjointe de Bertrand Delanoë, Guy Janvier et tous ses colistiers, de nombreux maires adjoints et conseillers municipaux avec la veste fluo jaune réglementaire. Après les conseils avisés de Gérard Clérin, directeur des Sports, ils sont partis encadrés par la Police et quelques éducateurs pour leur rappeler le code de la route. Et eux, se sont arrêtés aux feux tricolores lorsqu’ils étaient au rouge. Tiens, au fait, aucun Verts, pourtant adeptes du vélo et donneurs de leçon de conduite… à vélo, n’étaient présent. Bizarre. D’autres (pas les verts) les ont rejoint au Parc Municipal des Sports André Roche comme André Santini, où se sont déroulés ce matin, les discours et le pot. André Santini qui n’a pas manqué d’évoquer ses relations « mi gue, mi-raisin » avec la ville de Paris a rappelé que c’est elle qui a lancé Vélib. « J’ai constaté que les vélos faisaient l’objet de dégradations inquiétantes à Paris. Heureusement, on n’est pas touché par ce phénoméne en banlieue ».
Anne Hidalgo, a rappelé qu’elle était déjà venue en Velib’ à Vanves (à l’occasion des élections municipales pour soutenir Guy Janvier) et que « Vélib’ fait parti de ce lien que veut créer et développer Paris Métropole, qui réunit Paris et 93 Collectivités du Grand Paris, car « le Périph n’est plus une barrière ». Elle a constaté que « si beaucoup était secptique au début, ce n’est plus le cas. Vélib est un bien collectif, appartenant à personne, chacun pouvant l’utiliser comme il l’entend ». Elle a conclut en revenant sur les relations Paris-Vanves-Issy-Malakoff : « On a l’habituide de se réunir sur des projets communs (couverture du Périph et aménagement ded la dalle) et noys avons tous constaté quenous n’avions pas été consulté par le ministére de la Défense sur son installation à Balard »
Bernard Gauducheau a poursuivi dans le consensuel « La ville de Paris s’est endettée dans cette affaire. Mais dés le départ, cette extension en banlieue était prévue, rejeté par le tribunal administratif, validée par le Conseil d’Etat. On a perdu ainsi un an. C’est un exemple pour le Grand Paris. Et c’est la continuité de ce que nous avons fait avec la convention signée entre Vanves et Paris en 2003 pour régler des questons communes : les nuisances du parc des expositions, la couverture du Périph, l’aménagemlent de la porte Brançion – Il est important qu’elle soit bien traité – et de l’aménagement du futur espace public sur la dalle » a-t-il déclaré en citant un centre axé sur le vélo. Décidemment, tout le monde pédalait dans le même sens durant cette matinée ensoleillée où Vanves a inaugurée en grand pompe Velib ‘.