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LES DOSSIERS DES HAUTS DE VANVES ET D'ARC DE SEINE

Ces réunions publiques de quartier semestrielle qu’apprécie Bernard Gauducheau, peut être moins par ses adjoints qui sont sur les charbons ardents, lui permettent de faire le point sur les dossiers chauds du moment. En plus, il aime cela comme il l’a expliqué calmement à une question de l’une de ses bobos qui arrivent sur Vanves en roulant les mécaniques et en pétitionnant déjà pour défendre son bout de gras, propriétaire – quand même d’un pavillon  : « Est-ce que vous allez formaliser les attentes des Vanvéens concernant le PLU ? ». Elle était mal tombée, car l’on peut critiquer des choix, des politiques, mais pas la volonté d’associer les vanvéens aux décisions, et cela tant avec Bernard Gauducheau (NC)  qu’avec Guy Janvier (PS) qui ont tous les deux développé ce dialogue, chacun à leur façon. « Je le fais parce que j’ai cela dans mes veines. Je ne vais pas perdre mes soirées pour rien ! Je pourrais très bien faire autre chose. Car je considére que cela est utile. Et qu’on en retire quelque chose. Et notre pays irait beaucoup mieux si beaucoup de français pensaient comme nous ! ». Il est à peu prés sûr que Guy Janvier partage cet avis… Et c’est leur rendre hommage – à ces élus locaux  - de développer une concertation en amont des projets. Ce n’est pas,  tous les jours,  facile. Surtout avec des gens – comme ce blog l’a déjà dit  - « qui ne voient pas plus loin que leur bout de jardin ! ».      

 

LES QUESTIONS SUR LE QUARTIER

 

Elles ont été nombreuses et diverses sur le classement de la Villa Jeanne, les méfaits du stationnerment sauvage rue de l’Avenir, le projet d’une ligne de bus qui désenclaverait le Clos Montholon, les antennes relais – « on est en dessous des seuils tolérés à Vanves » selon Bernard Gauducheau – un enclos canin parc F.Pic pour que les chiens puissent s’ébattre etc…. Pour ces questions très pratiques ou matérielles, elles sont dorénavant réglés par un systéme mis en place par Daniel Barrois avec les « fiches roses ». Il suffit de les remplir lorsqu’on a une question à poser au Maire et de les déposer lors de la permanence mensuelle du Conseil de Quartier des Hauts de Vanves (le samedi de 11H à 13H salle Latapie)  pour qu’elles soient instruites par les services.

 

LE PONT SNCF : La mise en peinture a commencé par un nettoyage haute pression et sera suivi par un sablage par micro gammage. Coût de l’opération : 17 000 € dont 2000 € pour RFF. « C’était nécessaire car rien n’avait été fait depuis 80 ans ! ». Le maire espére continuer avec les deux autres ponts SNCF à la gare Vanves Malakoff et av. Ernest Laval.

 

MUR ANTI BRUIT : Le dossier avance très doucement. Le projet consiste, entre la gare de Vanves et le Clos Montholon à réaliser un mir anti bruit de 700 m de long accompagner d’isolation de façades et de fenêtres – une centaine. Malakoff a accepté d’y participer même si l’impact du bruit est moins important de son côté. Et la Région devrait prendre en charge certains travaux. « Nous n’en sommes encore qu’à la phase de l’étude. RFF considére que Vanves n’est pas le secteur le plus prioritaire. Et le chantier ne pourra commencer qu’après la réalisation d’une série d’enquêtes individuelles auprès des riverains qui seront consultés sur le choix d’une isolation phonique individuelle (fenêtre et./ou façade) ou collective (mur anti bruit).

 

ORAGES : Avec le retour de la saison des orages, des riverains se sont inquiétés de savoir où en était le chantier du bassin de rétention et des avaloirs. Après un an de retard et de report, il devrait commencer fin Juillet et se dérouler jusqu’en Octobre. Des riverains ont demandé s’ils ne pourraient pas profiter du parking du Parc Municipal des Sports. Le maire leur a demandé de le saisir de cette question, sachant que les conditions risquent d’être draconiennes pour des raisons de sécurité.      

 

LES QUESTIONS SUR LE PLU

 

Après l’exposé de près d’une heure du cabinet chargé d’établir le diagnostic, beaucoup de questions ont été posées sur des sujets qui reviennent souvent dans les échanges entre le maire et ses administrés : Les espaces verts avec le parc F.Pic qui devrait bientôt voir aboutir dans un bon sens pour la ville le contentieux avec l’auteur de la pollution des bassins qui aura duré plus longtemps que la procédure pour indemniser les victimes de l’Amoc Cadiz ou l’Erika. Dix arbres devraient être abattus car ils sont malades. La question de l’ouverture du parc Michelet a été reposée : « Elle a faillit se faire du temps de Charles Pasqua lorsqu’il président du Conseil Général des Hauts de Seine et qui était à l’écoute des maires. Alors que le projet était très avancé et techniquement réalisable, le transfert de compténce sur la cité scolaire du département à la Région a tout remis en cause, la Région considérant qu’il y avait de l’argent à mettre ailleurs ». Ce site n’aurait pas été aussi ouvert que le parc F.Pic, juste une partie centrale entre les bâtiments dy lycée et ses équipements sportifs qui auraient été rénovés, avec des cheminements permettant de traverser ce parc.

La circulation avec la volonté de faire de Vanves une ville zone 30. « Nous nous préoccupons des automobilistes qui traversent notre commune, pour dévier les circulations de transit, sans gêner nos voisins » a-t-il indiqué en réfléchissant à la création de nouveaux sens interdit. Il a fait allusion à un vieux projet de mise en sens unique de la rue J.Bleuzen qui serait alors couplé avec le Bd du Général de Gaulle à Malakoff qui serait mis en sens unique dans le sens inverse.

Le stationnement avec l’extension du payant que demandent maintenant certains habitants de rues qui ne l’ont pas encore : « Nous n’avons pas cédé rue de Chatillon après la mise en vigueur du stationnement payant mùalgré les protestations et les pétitions. Aujourd’hui ses riverains reconnaissent qu’ils arrivent maintenant à s’y garer. C’est pourquoi il faut le développer sur l’intégralité du territoire vanvéens (2500 places dont 60% sont encore en accès libre). Le temps est révolu pour ceux qui veulent pas payer pour stationner » a-t-il expliqué en faisant le point sur les projets de parkings (Les Papillons et l’îlot Cabourg).

 

MARCEL BEC PREMIERE CONCRETISATION

DE L’INTERCO ARC-VAL DE SEINE

 

Le soleil était au rendez-vous hier, en fin d’après-midi à 18H30 dans cette ancienne propriété de la société Renault qui accueille  ce complexe sportif 12 ha dans le bois de Meudon. Mais pas nos politiques qui sont arrivés avec prés de 1H30 de retard. C’est malheureusement devenu une habitude qui décourage beaucoup de responsables, comme si nos ministres et députés-maire n’avaient, qu'eux, un emploi du temps extrêmement chargé…La politesse des rois etc….

A part de désagrément, les vanvéens étaient à l’heure pour cette remise des clefs à la Communauté d'agglomération d’Arc de Seine, Bernard Gauducheau, Maxime Gagliardi, Gérard Clérin…. Mais pas François Praud, président du Stade de Vanves alors que tous les présidents de club avaient été invités. Pas très sérieux. Ils ont attendus, heureusement au soleil, pendant que quelques jeunes de l’académie de foot de Bernard Dioméde faisaient quelques exercices d’échauffements et de tirs au but.

Tout le monde étant prêt, à 19H30, ce fut l’heure des discours pour rappeler l’historique de cette acquisition qui, finalement, n’aurait pas pu se faire s’il n’y avait pas eu la volonté de deux hommes qui se connaissent, André Santini, président d’arc de seine et Piere Christophe Baguet, député maire de Boulogne. Ils ont chacun rappelé, le premier l’historique de cette acquisition qui aura couté 10 M€ dont un quart financé par la ville de Boulogne, le second de ce terrain dont les élus boulonnais se sont beaucoup préoccupés du devenir avec la Régie sans vraiment se décider sur une solution définitive.

Et il faut le comprendre, car ces 12 Ha insérrés dans la forêt de Meudon, c’est un passé inscrusté dans la mémoire des anciens de Renault – et beaucoup ont raconté quelques souvenirs pendant le pot qui a suivi – et des boulonnais qui ont pu en profiter à un titre ou à un autre. Mais c’est un devenir qu’a su assurer avant l’heure la future communauté d’agglomération qui naîtra de la fusion d’Arc et du Val de Seine. Ses responsables ont l’intention d’en faire un « Pré-Catelan » pour les « familles modestes ». Il y a même le site prévu pour une piscine que n’a jamais construit Renault, envahi complétement par la végétation.   

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