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  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    ISABELLE DEBRE : Comme c’est le cas pour chaque Vice président du Sénat, celui-ci se voit attribuer la présidence d’une  délégation. Pour Isabelle Débré (UMP), maire adjoint de Vanves, il  s’agit de la Communication comme l’a annoncée la présidence du Sénat voilà moins d’un mois. Avec une mission impossible : « Analyser les possibilités de rapprochement et de mutualisation des moyens » entre les deux chaînes parlementaires, LCP-AN et Public Sénat. La délégation doit rendre un avis le 28 Janvier prochain sur ce regroupement à des fins d’économies et pour une « meilleure visiblité » voulu tant par Gérard Larcher que Claude Bartoloné. Rappelons queces chaînes ont été créées en 1999 et qu’elles sont diffusées sur la TNT sur le même canal, avec des rendez-vous comme les questions d’actualités à l’AN (LCP-AN) ou le journal de 22H (Public Sénat). Mais ce n’est pas tout, car elle doit engager la procédure de désignation du futur président de Public Sénat, occupée actuellement par Gilles Leclerc qui vient à échéance le 31 mai prochain. Ce qui n’est pas une mince affaire.

  • PERSONNALITES DE VANVES DANS LES MEDIAS

    LE DOCTEUR JOUANNEAU PRESQU’A LA UNE DE L'EXPRESS

     

    Avec ce dossier consacré aux Médecins « pourquoi ils craquent », l’Express de cette semaine est en train de faire un tabac à Vanves. Tout au moins chez les patients du docteur Patrick Jouanneau installé sur le Plateau. Ses photos ilustrent la journée d’un médecin généraliste à son bureau, avec une patiente dans son bureau, la salle d’attente et la pièce de consultation où il a apposée un nouveau poster (cela c’est pour les habitués). A travers l’article, on apprend qu’il est à Vanves depuis 24 ans, que sa journée commence à 7H30 par un quart d’heure de paperasse – ce qui a le don de l’énerver – pour enchaîner une série de rendez-vous jusqu’à 12H45, puis une autre de 13H15 à 21H, sans compter prés de 80 coups ded fils quotidiens « dont la moitié constituent de véritables consultations par téléphone ». Et cela du Lundi au Jeudi, avec la matinée du Samedi. « Le Vendredi, il laisse son cabinet à une remplaçante, à laquelle il céde 100% des honoraires » tout en expliquant au journaliste de l’Express : « Je le fais pour mes patients, car cela ne me rapporte pas un sou et occasionne même des rais supplémentaires », et en lui confiant : « J’ai souvent l’impression de faire de l’abattage ». Mais sans lui dire qu’il a bien tenté de proposer à sa remplaçante de constituer un cabinet de deux médecins, mais sans succés. Ce qui confirme bien les résultats mis à jour par une enquête réalisée par le Conseil de l’Ordre des Medecins d’Ile de France qui montre bien que les jeunes médecins hésitent à se mettre à leurs comptes, préférant les remplacements etc…Et c’est bien cela le drame aujourd’hui, car ce qui met en  boule le docteir Patrick Jouaneau, c’est de voir qu’il reste le seul généraliste sur le Plateau de Vanves alors qu’ils étaient 7 dans les années 80.

     

    LA SENATEUR DEBRE DONNE SON SENTIMENT SUR LES AFFAIRES DE SEXE ET POLITIQUE

    Avec l’affaire DSK, nos politiques sont devenus prudents. Première étape : les hommes ont fait savoir, et surtout les maires comme Bernard Gauducheau, que dorénavant, ils recevaient leurs administrés en laissant la porte de leur bureau ouverte. Du coup des femmes, la plupart ont été interrogée sur le sexisme dans les assemblées surtout parlementaires – voir le JDD du 5 Juin dernier – ou sur le théme « sexe et politique » comme ce fut le cas sur le site Public Sénat.fr.  Ainsi, on peut lire ses propos d’Isabelle Debré, Sénateur UMP et 1ére maire adjointe de Vanves : « Quand on est un homme ou une femme politique, on se doit de montrer l’exemple ». Ou  « les choses qui sortent 2 ou 3 ans après, c’est n’importe quoi » pense Isabelle Debré. « Ça fait plus de 20 ans que je milite contre la maltraitance des enfants. Dans ce genre d’affaire, ou celles pour agression sexuelle, s’il y a vraiment quelque chose il faut porter plainte le jour même. La peur de la hiérarchie ne doit pas exister dès qu’il y a harcèlement ».