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LE PLU EN DEBAT A VANVES

DE NOUVELLES QUESTIONS

 

La seconde vague de réunions publiques sur le PLU qui a coincidé avec les réunions semestrielles du Maire pour les Hauts de Vanves, le Plateau et le Centre Ancien-Saint Remy s’est terminé avec la réunion des deux Comités Consultatifs « Sécurité-Circulation-Stationnement » et « Environnement et Développement Durable » lundi dernier. Elle n’a manifestement pas fait recette. Il est vrai que, peut être, beaucoup de ses membres avaient déjà assisté à la présentation d’un premier bilan du diagnostic réalisé par le Bureau d’Etudes Codra. Occasion de revenir sur les nouvelles questions posées à cette occasion par rapport à la première série de réunions :  

 

L’OUVERTURE DU PARC MICHELET : « Elle a faillit se faire du temps de Charles Pasqua lorsqu’il président du Conseil Général des Hauts de Seine et qui était à l’écoute des maires. Alors que le projet était très avancé et techniquement réalisable, le transfert de compténce sur la cité scolaire du département à la Région a tout remis en cause, la Région considérant qu’il y avait de l’argent à mettre ailleurs » a expliqué Bernard Gauducheau .

STATIONNEMENT : « Il faut le développer sur l’intégralité du territoire vanvéens (2500 places dont 60% sont encore en accès libre). Le temps est révolu pour ceux qui veulent pas payer pour stationner » a-t-il expliqué en faisant le point sur les projets de parkings (Les Papillons et l’îlot Cabourg).

COMMERCES  :  « Nous sommes confrontés à l’éternel problème de la grande distribution. Combien de vanvéens vont faire leurs courses dans les petits commerces ? » ont entendu les vanvéens. C’est l’antienne de l’équipe municipale même si elle essaie d’expliquer qu’elle « essaie de se battre pour les préserver » et « qu’ouvrir un commerce aujourd’hui, ce n’est pas comme voilà un siécle. A l’époque le commerçant était un notable, aujourd’hui un smicard ! ». Quant à préempter : « Les banques sont les seules à pouvoir investir. Si nous avions preempté que ce serait il passé alors qu’aucun brasseur n’était intéressé. Et bien au bout d’un an, la banques serait revenu avec une proposition de rachat plus faible. Et nous aurions porté tort au propriétaire du « Mail » a expliqué le Maire .  

TOUR TRIANGLE : « Elle reste à l’ordre du jour, mais rien n’est décidé sur le plan financier. Elle aura des incidences sur son environnement (jusqu’à Vanves), et il faudra être attentif et vigilant à ce qui passera autour de nous » a-t-il expliqué en élargissant son propos sur le Grand Paris qui aura des conséquences importante sur le devenir de la commune de Vanves, et la future communauté d’agglomération constituée par la fusion d’Arc de Seine dont fait partie Vanves et Val de seine (Boulogne, Sévres) : « Vanves fera partie du 3éme pôle d’emploi d’Ile de France, en étant parti de rien. Et il faudra se positionner par rapport à cela »

LOGEMENTS SOCIAUX : « On dit beaucoup de choses pas tout à fait fondé. Nous subissons une pression constante en matière de constante. Mais vanves a une densité de 18 000 habitants au km2, dont des villes voisines sont loin. Pour les logements sociaux, nous avons déjà donné et nous n’avons pas à rougir (23,5%). On peut touours faire plus, reconstruire pour maintenir notre population. Mais il faut savoir raison garder ! » a expliqué le Maire en déclarant que « c’est dans la reconstruction que l’on pourra faire du logement mixte ».

ANTENNES RELAIS : « Le Grenelle de l’Environnement n’a rien décidé parce que rien n’a été prouvé. On est très vigilant par rapport à ces questions. Et nous faisons des campagnes de testes chaque année » a répondu David Mahé, conseiller municipal.  « Nous pouvons interdire ces antennes relais, mais nous devons respecter l’accés libre aux portables. Des vanvéns se posent des questions. A partir du moment où des dispositions seront prises, nous les ferons respecter » a ajouté Bernard Gauducheau en faisant remarquer que « beaucoup de copropriétés récoltent beaucoup de royalties en autorisant l’implantation de ses antenes relais sur leurs toits »

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