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  • GABRIEL ATAL ET DES MARCHEURS DE VANVES AU MEETING DE LAURENT SAINT MARTIN

    Jusqu’à présent, les marcheurs auront été les seuls à ogarniser un vrai meeting en présentiel comme ce fut samedi en fin d’après midi au parc floral à Vincennes. De nombreux vanvéens étaient présent avec Gabriel Attal, porte parole du gouvernement qui a battu des records au niveau de l’applaudimétre avec Marléne Schiappa, tête de liste à Paris, Jean Cyril Le Goff qui est candidat sur la liste des Hauts de Seine. Beaucoup portaient un tee-shirt blanc à l'effigie du candidat 

    «Nous sommes en train de surmonter la crise (...) Si nous sommes là, c'est parce que nous avons tenu notre promesse, que le calendrier présenté par le Président a été tenu. Et ça il faut en être fier» a assuré Gabriel Attal, en dénonçant tous ceux qui ont «critiqué par principe le chef de l'Etat et ont été démentis par les faits. Il s'est ensuite lancé dans un bilan quasi exhaustif du quinquennat, de l'arrêt du projet de Notre-Dame-des-Landes à la suppression de la taxe d'habitation. «Nous n’aurions pas les compétences pour gérer les problématiques régionales mais nous ne sommes pas des sortants, nous entrons dans le jeu. Et il faut l’assumer, assumer que nous entrons dans le jeu avec des idées neuves, forts du bilan de l’action présidentielle » a conclu le porte parole du gouvernement qui a été le seul parmi les dix ministres présents -Jean-Michel Blanquer, Elisabeth Borne, Elisabeth Moreno, Clément Beaune, Franck Riester, Olivier Dussopt,  Adrien Taquet,  Emmanuel Wargon, Amélie de Montchalin, Nathalie Elimas   - à prendre la parole avec Marléne Schiappa qui a déclaré «Il y a encore des gens qui ne savent pas que la liste d’Emmanuel Macron, c’est la liste de Laurent Saint-Martin »   

    D’ailleurs, Lorsqu'il est monté sur scène à son tour, Laurent Saint-Martin a continué de se positionner comme le candidat d'Emmanuel Macron : «Mon ambition de transformation pour l'IDF est la même que celle que porte Emmanuel Macron pour le pays depuis quatre ans  a indiqué la tête de liste LREM qui veut insuffler « l'ADN de la majorité présidentielle à la région. Si nous jouons collectif nous sortirons plus forts de cette épreuve» a-t-il promis

  • VANVES ET LES ELECTIONS REGIONALES : LES MARCHEURS VANVEENS ONT PARTICIPE AU PROGRAMME

    Une des particularités des marcheurs durant cette campagne régionale, est d’avoir construit le programme de la liste LREM conduite par Laurent Saint Martin grâce à une consultation  de la base au cours de ses derniers mois. Grâce à une participation de chaque antenne LREM communale et départementale qui ont identifié des envies pour les renforcer à partir de 10 thémes avec une proposition forte et plusieurs mesures (150 propositions au total ) présentés dans un fascicule de 32 pages.  Certaines sont connues de tous car Laurent Saint Martin s’est déjà longuement exprimé dessus dans les médias comme la création d’une police régionale pour renforcer la sécurité dans les transports et aux abords des lycées, le lancement d’un fonds d’épargne populaire pour que les Franciliens puissent investir au service de leur Région, le reste à charge de 30% pour les particuliers à l’achat d’un véhicule électrique, la mise en place d’un revenu d’urgence de 500€ pour 40.000 jeunes franciliens en situation de précarité»

    Vanves en Marche a largement participé à la construction des 154 propositions qui constituent le programme Envie d'Ile-de-France à travers des réunions dédiées du Comité qui avait constitué des groupes de travail, des réunions avec les Comités de GPSO, la participation aux différents Groupes de Travail Départementaux. Plusieurs propositions soutenues par Vanves en Marche ont été retenues : La mise en place dans chaque ville un référent d'aide à l'orientation pour accompagner nos lycéens dans leur choix d'avenir en lien avec les acteurs économiques du département. La création d’espaces de co-working pour aider les jeunes entrepreneurs dans leur projet avec un accompagnement renforcé et du coaching. L’application de clauses dans les appels d'offres de la Région prévoyant le respect par les entreprises des obligations d'accueil d'apprentis et d'alternants. La création de 5 000 emplois dans les structures de l'économie sociale et solidaire avec une aide de 2 000 € par emploi créé. Le déploiement de Conseillers Europe dans chaque département, en appui des entreprises et des collectivités. Enfin, arriver à ce que, au moins 1 lycée sur 5,  soit 100 % inclusif d’ici la fin de mandature, en garantissant à chaque lycéen en situation de handicap une place dans un établissement près de chez lui.

  • VANVES ET LES ELECTIONS REGIONALES : UN AVANT GOUT DE LA PRESIDENTIELLE

    En cette double campagne électorale, départementale et régionale, moins de quinze jours avant le 1er tour, les vanvéens voient sur le terrain, les différents binômes candidats au conseil départemental, et à la TV, les différentes têtes de listes candidates au conseil régional dont ils viennent de recevoir la propagande (les professions de foi) par courrier. A Vanves, trois élus sont candidats, le maire Bernard Gauducheau sur la liste de Valérie Pécresse (Libres-LR-UDI-Modem) conduite par Philippe Juvin dans les Hauts de Seine, Gabriel Attal, porte parole du gouvernement qui endosse son costume de «Monsieur Risposte» en vu des présidentielles,  avec Jean Cyril Le Goff, tous les deux conseillers municipaux d’opposition  sur la liste de Laurent Saint Martin (LREM) coduite par Aurélie Taquillain dans le 92 et le député Thierry Solége conseiller à l’Elysée qui manoeuvre en vu des présidentielles. Ces élections régionales, comme le Blog va s’y intéresser cette semaine, après avoir présenté les binomes candidats au Conseil Dépatemental, sonnent comme un avant goût de l’élection présidentielle

    Pour la présidente Valérie Pécresse (LR) qui fait face à une opposition éclatée, le scrutin est un tour de chauffe de l'élection présidentielle. Les scores seront scrutés de près à un an de l'échéance présidentielle. Le dernier sondage en date, réalisé par l’Ifop publié le 23 mai par le JDD, donne une nette avance, au premier tour, à Valérie Pécresse (33%), devant Jordan Bardella (16%), Laurent Saint-Martin (15%) et Julien Bayou (11%). Audrey Pulvar et Clémentine Autain étaient créditées à cette date de 10% des intentions de vote. La présidente sortante, a un discours bien rodé qui tourne autour «des valeurs de la République». Une victoire la propulserait à un rang de présidentiable également. Son ambition est à peine masquée, même si elle ne veut pas brûler les étapes. Elle a prévenu en avril qu’un échec à ces élections «sonnerait comme une fin de carrière politique» pour elle. Mais elle reste la principale favorite. Parmi ses principaux thèmes de cette campagne figurent les transports (gratuité, avenir du périphérique parisien...), le logement, la relance économique régionale ou encore la sécurité. 

    L'Elysée voit en elle une concurrente, et le candidat de la majorité, Laurent Saint-Martin (LREM)  a pour mission d'affaiblir la position de cette rivale. Le score d'Audrey Pulvar (PS) conditionne la candidature d'Anne Hidalgo.  Mais les sondages ne décollent pas pour elle, ce qui «plombe» la maire de Paris. Julien Bayou (EELV)  a changé de look et a troqué son pull pour une cravate et des cheveux courts, afin que son parti soit encore plus pris au sérieux pour l'élection présidentielle.  Mais plus le premier tour approche, plus les candidats s’inquiètent : qui va aller voter aux élections régionales en Ile-de-France ? D’autant qu’aux législatives partielles, à Paris seulement 15,5% des électeurs se sont déplacés dans le XXe arrondissement.