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  • LA PHOTO DU JOUR DE L’ASCENSION A VANVES : UN PROJET DE CANDIDATURE A L’EXPO UNIVERSELLE DE 2025 EN BONNE VOIE

    Une vanvéenne a énormément travaillée, en coulisse, pour la présentation en avant première du projet de candidature de la France à l’exposition universelle de 2025 qui s’est déroulé mardi soir à l’hôtel de Lassay, résidence du président de l’Assemblée Nationale. Elle n’est pas sur la photo où l’on voit Jacques Ferrier, Pauline Marchetti (les 2 architectes qui travaillent avec nous), Bruno Le Roux (Vice-Pdt d'Epofrance 2025 et rapporteur de la mission parlementaire), Luc Carvounas (Vice-pdt d'Expofrance 2025), Claude Bartolone, Jean-Christophe Fromantin (pdt d'Expofrance 2025) et Patrick Ollier (Président de la Métropole du Grand Paris). Au second plan, Pascal Lamy, Délégué interministériel. Mais Anne Laure Mondon, conseillère municipale PS de Vanves, est très impliquée sur ce dossier dans ExpoFrance 2025. Un projet sur lequel le blog reviendra  car il devrait révolutionner la conception même  des expositions universelles en revenant aux fondamentaux de l’origine voulu par Jean Christophe Fromantin (UDI) député maire de Neuilly avec son équipe dont fait partie cette vanvéenne

     

  • CE QUE L’ON NE VOUS PAS DIT A VANVES SUR LA METROPOLE DU GRAND PARIS :: 3) Un périmétre métropolitain en question

    Dés son intronisation le 18 Décembre 2015, Valérie Pécressse avait déclaré qu’il était temps d’abandonner ce projet de métropole. « Une fois les élections présidentielles et législatives de 2017 passées, je pense qu’il faudra penser à modifier la loi » reconnaissait Patrick Ollier le 22 Janvier dernier  (sur la photo devant A.Santini) après son élection à la tête de la MGP. « Manuel Valls n’émet pas d’opposition de principe à une modification des statuts de la métropole pour qu’elle s’imbrique mieux avec la Région. Il n’est pas opposé à un changement de l’architecture de la métropole » indique un conseiller régional bien introduit à Matignon.

    « Nous avions pensé depuis plusieurs années à  une métropole dont les initiatives émaneraient de la base, c’est à dire des maires et remonteraient vers le haut. Finalement, c’est l’inverse qui a été acté. Or la MGP n’est pas faite pour se substituer aux maires » constate P.Ollier qui ajoute que « nous avions proposé de pérenniser les territoires en tant qu’intercommunalié (et non EPT) et de les alimenter en fiscalité directe. Or à partir de 2020, c’est la métropole qui centralisera progressivement la fiscalité des entreprises ».

    Mais la grande question est surtout celle de son périmètre qui est à revoir, car il exclut des pôles actuellement comme le Plateau de Saclay, l’aéroport de Roissy. Ainsi pour Valérie Pécresse, le Grand Paris, c’est la région  car 5 millions de franciliens sont dans le champ du Grand Paris alors qu’ils vivent à l’extérieur de la MGP : « La  bonne dimension  c’est bien l’Ile de France telle qu’elle est. Le périmètre de 12 000 km2 est indispensable, fiable et conséquent à l’échelon européen » selon Didier Bartiani, vice président chargé du Grand Paris. « L’idéal aurait été de constituer une grande région parisienne incluant l’ensemble des départements limitrophes sous influance parisiene (Oise, Eure-et-Loir, Loiret, des parties de l’Aisne, l’Eure et l’Yonne), avec,  en son cœur une MGP, correspondant à la partie urbanisée dense de l’agglomération  mais plus étendue que celle de la MGP actuelle, c’est à dure grosso modo l’unité urbaine définie par l’INSEE dont les problématiques communes nécessitent une gestion spécifique » indique un spécialiste. « En refusant d’étendre le périmètre de la Région Ile de France,  contrairement à ce qui a pu se faire dans la majorité des autres régions françaises, le gouvernement Manue Valls a pris le risque d’une concurrence avec la MGP ».

    Demain : Une concurrence inévitable