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  • VANVES ET LE PARC DES EXPOSITIONS : UNE TOUR EN STAND BY !

    La construction de la tour triangle,  Immeuble de Grande Hauteur (IGH) le long de l’avenue Ernest Renan (180m de haut ! et 200m de large !) ne serait plus d’actualité.

    La société Unibail-Rodamco, porteur du projet, aurait annoncé à la Presse ne plus être liée à la Ville de Paris, car le déclassement de la parcelle où devait être érigée la Tour Triangle, aurait dû être voté en Conseil de Paris avant le 31 décembre 2014. « Le contrat liant Unibail-Rodamco à la Ville de Paris pour la construction de cette tour de 180 mètres, prévue au cœur du Parc des expositions de la porte de Versailles (Paris 15e), pour un investissement de 520 M€, ayant expiré le 31 Décembre 2014, les deux parties ne sont plus liées par un projet devenu caduc. La fonciére doit avoir, à ce stade, retiré la tour Triangle de son portefeuille de projets en développement » selon Jean Jacques Larrochelle, journaliste,  dans Le Monde Architecture.

    Néanmoins, Unibail-Rodamco et ville de Paris continuent de travailler pour remanier ce projet. « Nous avons bon espoir d'un vote positif, en avril, ou un peu plus tard. Nous ne sommes pas à un mois près. S'il faut prendre  un ou deux mois de plus pour convaincre, nous le ferons » a déclaré Christophe Cuvillier, président du directoire qui indiquait travailler sur  des modifications, notamment en incluant un hôtel qui était prévu, dans sa mouture initiale, au sommet, mais dont la faisabilité s’était avérée risquée.

  • LE VANVES A ETE LE THEATRE DE TOUS LES POSSIBLES POUR JOSE ALFARROBA (suite et fin)

    José Alfarroba est peut être la personne la personne la plus importante dans le monde du théâtre contemporain. Mais peu le savant à Vanves, et en dehors d’un monde de spécialistes du théâtre. «  Peu de gens vous connaissent, parce que vous choisissez plutôt l’ombre, les coulisses. Vous préférez l’atmosphére des répétitions à celle des « premières » où l’on vient faire ses petites vanités et discute des affaires » constatait Laure Adler dans son émission sur France Inter, Studio Théâtre,  le 20 Février dernier en ajoutant que  « depuis quelques années, vous nous avez permis de découvrir toute une génération de chorégraphes, et vous avez été l’un des premiers, peut être le premier,  à nous permettre de découvrir ce phénomène très important qui sont les jeunes compagnies ».

    « En analysant ce qui se passait en France, j’ai constaté qu’il manquait des lieux, des rampes de lancements. Et le fait d’aller voir des pièces qui sont vraiment au début, dés le moment où on leur confiance à ces jeunes, il y a déjà un pâs énorme qui est fait. Parce que si on ne fait pas confiance à un premier projet, il y en a plein qui vont disparaître » expliquait José Alfarroba « C’est ce que l’on a voulu faire à Vanves avec toute l’équipe : le théâtre de tous les possibles !  ». Il expliquait que « dés le départ, je considère ces jeunes générations comme des artistes à part entière, même si souvent, c’est leur premier travail, leur première maquette. J’ai demandé que l’on puisse expérimenté, laisser à des jeunes, la possibiliité de créer, de se tromper, de revenir en arrière, de passer à autre chose si cela ne va pâs…car c’est ce qui manque dans le théâte français actuellement. Dés le moment où le contrat moral et artistique est clair, dés le départ. Et quand on sent que la pièce est prête à aller ailleurs, j’appelle mes collègues en leur disant : « Il y a quelque chose qui peut vous intéresser ! c’est le cas du collectif Colette qui a monte « Pauline à la plage » découvert à la Comédie Français avec les élèves de la Comédie Française »  expliquait il e ayant toujours rêvé de travailler en réseau entre La Loge, « véritable pépinière de découverte de nouveaux talents avec une scène minuscule, très peu d’agent pour le faire fonctionner », le théâtre Le Vanves et la Colline

    « J’ai très envie, (de continuer) le projet du théâtre le Vanves,  pour que cet état d’esprit de  liberté continue d’exister » ajoutait il ce soir là.  Tout en étant conscient qu’il n’est plus légitime, sachant que son  équipe, avec Nouchka Cherbet qui m’a secondé pendant 12 ans, Christian Baradi, Olivier, Didier, Julien, Clémence, ont repris le flambeau. « Le problème est que la ville est dans des difficultés financières comme beaucoup de communes, avec les nouvelles charges. Je lance un appel à l’Etat : Qu’il continue à soutenir et soutienne davantage ce lieu. On est soutenu au niveau de la danse par la DRAC qui a toujours été exemplaire, même si la somme n’est pas énorme. On n’a pas pratiquement d’aide pour le théâtre. Je ne suis pas du tout pour la politique de la terre brulée. Et je continue à les accompagner ».